Cette année, le Sénégal fait face à des inondations spectaculaires entraînant de nombreuses victimes et des dégâts considérables. Un phénomène récurrent en cette saison, alors que les grandes villes manquent souvent d’infrastructures pour évacuer les eaux de pluies.
Les précipitations de ces derniers jours ont pris par surprises des centaines de milliers de personnes. Le phénomène semble d’une ampleur exceptionnel alors que la saison des pluies n’est pas terminée.
Des précipitations diluviennes se sont abattues il y'a de cela quelques jours dans tout le Sénégal. Routes coupées par les eaux, maisons et véhicules submergés, la population de la banlieue de Dakar, est prisonnière des eaux. Même cas de figure à la Médina, Fass, Gueule Tapée etc...
Les images sont impressionnantes, et les Sénégalais excédés d’autant que Macky Sall avait lancé, après avoir été élu à la présidentielle de 2012, un plan décennal de lutte contre les inondations.
" Qu’ont-ils fait des 750 milliards de FCFA " s’est interrogé le journal Le Quotidien, faisant écho aux déclarations de responsables de la société civile et de membres de l’opposition.
Où sont passées les ressources mobilisées? Qu'a donc fait l'ONAS?
Cela dit, la législation sénégalaise de 1994 sur la certification des semences a eu beaucoup d'influence et a servi de modèle aux lois harmonisées d'Afrique de l'Ouest en matière de qualité de la production des semences. Mais au niveau national, Dakar est confronté à une pénurie de personnel et de matériel qui entrave le contrôle de la qualité.
Des semences de qualité peuvent faire toute la différence entre une excellente récolte et un mauvais rendement des cultures, notamment pour les petits agriculteurs qui ont rarement accès à d'autres intrants agricoles essentiels tels que les engrais, le matériel agricole motorisé et les pesticides.
On a besoin (de semences de qualité) pour survivre. Les semences de mauvaise qualité perpétuent le cycle des crises alimentaires, ce à quoi nous assistons depuis quelques années. Les semences certifiées et de bonne qualité sont vraiment importantes.
Mais les experts ont affirmé qu'en pratique, une série d'obstacles avait surgi depuis l'entrée des entreprises privées dans le secteur.
Invité de "Soir d'Info", le jeune marabout, connu agriculteur, livrera sa part de vérité sur les inondations, la lancinante question des intrants entre autres...
Aussi, le responsable "Apériste" Serigne Mabousso Bousso est-il revenu sur sa candidature annoncée dans son fief (Kebemer) à quelques encablures des décisives locales.
Suivez la vidéo!
Les précipitations de ces derniers jours ont pris par surprises des centaines de milliers de personnes. Le phénomène semble d’une ampleur exceptionnel alors que la saison des pluies n’est pas terminée.
Des précipitations diluviennes se sont abattues il y'a de cela quelques jours dans tout le Sénégal. Routes coupées par les eaux, maisons et véhicules submergés, la population de la banlieue de Dakar, est prisonnière des eaux. Même cas de figure à la Médina, Fass, Gueule Tapée etc...
Les images sont impressionnantes, et les Sénégalais excédés d’autant que Macky Sall avait lancé, après avoir été élu à la présidentielle de 2012, un plan décennal de lutte contre les inondations.
" Qu’ont-ils fait des 750 milliards de FCFA " s’est interrogé le journal Le Quotidien, faisant écho aux déclarations de responsables de la société civile et de membres de l’opposition.
Où sont passées les ressources mobilisées? Qu'a donc fait l'ONAS?
Cela dit, la législation sénégalaise de 1994 sur la certification des semences a eu beaucoup d'influence et a servi de modèle aux lois harmonisées d'Afrique de l'Ouest en matière de qualité de la production des semences. Mais au niveau national, Dakar est confronté à une pénurie de personnel et de matériel qui entrave le contrôle de la qualité.
Des semences de qualité peuvent faire toute la différence entre une excellente récolte et un mauvais rendement des cultures, notamment pour les petits agriculteurs qui ont rarement accès à d'autres intrants agricoles essentiels tels que les engrais, le matériel agricole motorisé et les pesticides.
On a besoin (de semences de qualité) pour survivre. Les semences de mauvaise qualité perpétuent le cycle des crises alimentaires, ce à quoi nous assistons depuis quelques années. Les semences certifiées et de bonne qualité sont vraiment importantes.
Mais les experts ont affirmé qu'en pratique, une série d'obstacles avait surgi depuis l'entrée des entreprises privées dans le secteur.
Invité de "Soir d'Info", le jeune marabout, connu agriculteur, livrera sa part de vérité sur les inondations, la lancinante question des intrants entre autres...
Aussi, le responsable "Apériste" Serigne Mabousso Bousso est-il revenu sur sa candidature annoncée dans son fief (Kebemer) à quelques encablures des décisives locales.
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