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Des informations en possession de dakarposte, il ressort qu' elle a été évacuée par son mari de nationalité Française. Le jour des faits, le sieur Crépet était accompagné du fils de la dame (né d'un mariage précédent). Et, vous savez quoi? Ils ont laissé entendre à l'accueil des urgences de l'hôpital que la dame a été victime d'agression par des malfrats.
Mais, le médecin de garde, qui n'est pas né de la dernière pluie, était peu convaincu de leur déclaration compte tenu surtout de la nature des blessures.
Mme Crépet était à moitié égorgée. Fort heureusement l’œsophage de la dame, à l'article de la mort, n’était pas atteint. La victime avait également des saignements un peu partout sur le corps entre autres éraflures
Quid des faits?
Il revient aux radars fureteurs de dakarposte que suspectant son épouse d’infidélité, P. CREPET a fini par monter
son beau-fils contre sa propre mère J. I. OUAYOU.
Le jour de son agression, ils (le mari et le fils) ont simulé un jeu sur ordinateur auquel ils ont invité la dame. Quand elle s’est mise devant le clavier, son cynique époux est passé derrière elle avant de lui bander les yeux pour ensuite lui trancher la gorge.
Assez forte, elle s’est débattue avant de tomber. Maitrisée au sol par son époux, son fils a pris un marteau et s’est mis à la rouer de coups sur la tête. Ayant perdu conscience, elle est restée inerte. Elle est laissée pour morte.
À moins que la dame feignait d‘avoir succombé à l’agression pour que ses bourreaux s’éloignent. C'est ainsi qu'ils ont vite nettoyé le sol pour faire disparaitre les tâches de sang et l’ont abandonnée dans la maison. Pour exécuter cette sale besogne, ils ont tenu éloigné des lieux, le fils biologique du couple, A. CREPET âgé de 09 ans. Plus tard, ils
l’ont vu bouger et se sont donc rendu compte qu’elle n’est pas morte. Elle les a suppliés de la conduire à l’hôpital en leur promettant de dire qu’elle a été victime d’agression. Ils sont d’abord allés faire la déclaration au commissariat en leur faisant croire à une agression.
Les policiers sont venus faire le constat. La victime a ensuite été évacuée à l’hôpital par ses bourreaux.
Elle n’a dû son salut que grâce à la prompte et efficace intervention des médecins réanimateurs.
Après l’intervention chirurgicale, elle a perdu la voix mais elle pouvait écrire. C’est ainsi qu’elle a envoyé des messages whatsapp à sa belle-sœur établie en Corée pour lui narrer ce qui s’est passé. Ses agresseurs (son époux et son fils) sont revenus la voir le lendemain à l’hôpital où les attendaient des gendarmes en civil. Conduits à l’unité, le mari a défendu la thèse de l’agression par un homme encagoulé.
Poussé jusque dans ses derniers retranchements, le fils finira par avouer que son beau père et lui se sont entendus pour mettre fin aux jours de sa mère. Il a décrit le film des
évènements, récit que P. CREPET finira par confirmer.
Interpellé sur ses agissements contre sa propre mère, N. TAIDIGSMANN n’a pas du tout été tendre. Il a décrit sa génitrice comme étant une femme dure, infidèle et particulière méchante. A la question de savoir s’il regrettait son acte, il a ditnon en ajoutant : " je n’aime pas ma mère " (Vous n'avez pas la berlue!)
Il revient à dakarposte que le mari a justifié son acte par l’infidélité de sa femme. Selon lui, il ne sait même pas combien de copains elle en a, tant ils sont nombreux.
Aux dernières nouvelles, ils ont tous les deux, été déférés au parquet pour association de malfaiteurs et tentative
d’assassinat. En effet, dakarposte est en mesure de révéler que P. CREPET a été placé sous mandat de dépôt tandis que N. TAIDIGSMANN a été confié à une structure de prise en charge de mineurs délinquants.
Quant au petit A. CREPET, vu que sa mère est hospitalisée et que son demi-frère et son père sont dans les liens de la détention, il a été confié à l’ambassade de Côte d’Ivoire à Dakar contre le gré de son père qui estime qu’il n’a rien à voir sur un territoire Ivoirien puisqu’il est Français.
Quid de la victime? Il nous revient que la dame de nationalité Ivoirienne ne pouvait pas parler au moment de l’enquête puisqu’elle avait la gorge tranchée à moitié. Elle a fait une déposition écrite qui a permis aux gendarmes
d’avancer dans l’enquête.
Affaire à suivre...
njaydakarposte@gmail.com
Mais, le médecin de garde, qui n'est pas né de la dernière pluie, était peu convaincu de leur déclaration compte tenu surtout de la nature des blessures.
Mme Crépet était à moitié égorgée. Fort heureusement l’œsophage de la dame, à l'article de la mort, n’était pas atteint. La victime avait également des saignements un peu partout sur le corps entre autres éraflures
Quid des faits?
Il revient aux radars fureteurs de dakarposte que suspectant son épouse d’infidélité, P. CREPET a fini par monter
son beau-fils contre sa propre mère J. I. OUAYOU.
Le jour de son agression, ils (le mari et le fils) ont simulé un jeu sur ordinateur auquel ils ont invité la dame. Quand elle s’est mise devant le clavier, son cynique époux est passé derrière elle avant de lui bander les yeux pour ensuite lui trancher la gorge.
Assez forte, elle s’est débattue avant de tomber. Maitrisée au sol par son époux, son fils a pris un marteau et s’est mis à la rouer de coups sur la tête. Ayant perdu conscience, elle est restée inerte. Elle est laissée pour morte.
À moins que la dame feignait d‘avoir succombé à l’agression pour que ses bourreaux s’éloignent. C'est ainsi qu'ils ont vite nettoyé le sol pour faire disparaitre les tâches de sang et l’ont abandonnée dans la maison. Pour exécuter cette sale besogne, ils ont tenu éloigné des lieux, le fils biologique du couple, A. CREPET âgé de 09 ans. Plus tard, ils
l’ont vu bouger et se sont donc rendu compte qu’elle n’est pas morte. Elle les a suppliés de la conduire à l’hôpital en leur promettant de dire qu’elle a été victime d’agression. Ils sont d’abord allés faire la déclaration au commissariat en leur faisant croire à une agression.
Les policiers sont venus faire le constat. La victime a ensuite été évacuée à l’hôpital par ses bourreaux.
Elle n’a dû son salut que grâce à la prompte et efficace intervention des médecins réanimateurs.
Après l’intervention chirurgicale, elle a perdu la voix mais elle pouvait écrire. C’est ainsi qu’elle a envoyé des messages whatsapp à sa belle-sœur établie en Corée pour lui narrer ce qui s’est passé. Ses agresseurs (son époux et son fils) sont revenus la voir le lendemain à l’hôpital où les attendaient des gendarmes en civil. Conduits à l’unité, le mari a défendu la thèse de l’agression par un homme encagoulé.
Poussé jusque dans ses derniers retranchements, le fils finira par avouer que son beau père et lui se sont entendus pour mettre fin aux jours de sa mère. Il a décrit le film des
évènements, récit que P. CREPET finira par confirmer.
Interpellé sur ses agissements contre sa propre mère, N. TAIDIGSMANN n’a pas du tout été tendre. Il a décrit sa génitrice comme étant une femme dure, infidèle et particulière méchante. A la question de savoir s’il regrettait son acte, il a ditnon en ajoutant : " je n’aime pas ma mère " (Vous n'avez pas la berlue!)
Il revient à dakarposte que le mari a justifié son acte par l’infidélité de sa femme. Selon lui, il ne sait même pas combien de copains elle en a, tant ils sont nombreux.
Aux dernières nouvelles, ils ont tous les deux, été déférés au parquet pour association de malfaiteurs et tentative
d’assassinat. En effet, dakarposte est en mesure de révéler que P. CREPET a été placé sous mandat de dépôt tandis que N. TAIDIGSMANN a été confié à une structure de prise en charge de mineurs délinquants.
Quant au petit A. CREPET, vu que sa mère est hospitalisée et que son demi-frère et son père sont dans les liens de la détention, il a été confié à l’ambassade de Côte d’Ivoire à Dakar contre le gré de son père qui estime qu’il n’a rien à voir sur un territoire Ivoirien puisqu’il est Français.
Quid de la victime? Il nous revient que la dame de nationalité Ivoirienne ne pouvait pas parler au moment de l’enquête puisqu’elle avait la gorge tranchée à moitié. Elle a fait une déposition écrite qui a permis aux gendarmes
d’avancer dans l’enquête.
Affaire à suivre...
njaydakarposte@gmail.com