Pour rappel,jusqu’au début des années 1990, la sûreté de l'aviation civile n’était pas complètement prise en compte au Sénégal. Dakarposte tient de sources concordantes que l’ASECNA qui avait comme mission principale la gestion technique et commerciale de tous les aéroports du pays avait également pour mission de garantir la sûreté des installations aéroportuaires du Sénégal. Mais cette dernière ne plaçait pas celle-ci au centre de ses préoccupations à cette époque.
Il a fallu attendre 1991 pour voir la mise en place d'un Bureau sûreté et facilitation suite à la création de l’article 10 du code de l’aviation civile pour une meilleure prise en charge de la sûreté au niveau des aéroports du Sénégal. Cette prise de conscience s’est traduite par l’installation d’un comité local de sûreté à l'aéroport international Léopold Sédar Senghor. Et, c'est en 1999 que les USA passent à la vitesse supérieure en demandant au Sénégal d'être en conformité avec les normes de l'annexe 17 de la Convention de Chicago relative à la sureté de l'aviation civile.C'est ainsi que le Sénégal a élaboré son propre programme national de sureté de l'aviation civile (PNSAC).
Le 11 Septembre 2001, le monde de l’aviation civile a été marqué par un événement majeur posant ainsi la problématique de la sûreté et permettant la mise sur pied en octobre 2001, de La HAALSS qui se chargera de l’application de la coordination des mesures de sûreté à l'aéroport international Léopold Sédar Senghor.
En septembre 2011,la centrale électrique de l'aéroport qui assure l'alimentation des pistes et des équipements de navigation prend feu à 21h55 créant une indisponibilité d'une heure 30 mn.Occasionnant du même coup des désagréments comme l'avion de Sénégal Airlines dérouté vers Banjul pour y atterrir ou du vol de la RAM qui était obligé de faire une attente en l'air avant d'atterrir ou encore du vol Air France obligé de retarder son vol.
En 2013 l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar n’a pas accueilli d’avions hier pendant presqu'une journée pour cause de dérapage d’un avion militaire américain obligeant les autorités aéroportuaires à fermer l’aéroport. Résultat : des départs ont été annulés et d’autres vols détournés vers la Gambie ou la Mauritanie.
Les récentes découvertes de clandestins dans les avions en provenance du Sénégal commencent à bien faire et certains pays ne seraient pas opposés à classer Dakar dans la liste des aéroports les moins surs si la cadence continue.
Mais du coté de l'HAALSS,l'assurance de l' élèvement des normes de sécurité est actée et des formations régulières seront imposées à tous les acteurs de la plateforme pour ne pas perdre notre Transportation Security Administration (TSA) délivrée par l'agence américaine de sécurité des transports.
Il a fallu attendre 1991 pour voir la mise en place d'un Bureau sûreté et facilitation suite à la création de l’article 10 du code de l’aviation civile pour une meilleure prise en charge de la sûreté au niveau des aéroports du Sénégal. Cette prise de conscience s’est traduite par l’installation d’un comité local de sûreté à l'aéroport international Léopold Sédar Senghor. Et, c'est en 1999 que les USA passent à la vitesse supérieure en demandant au Sénégal d'être en conformité avec les normes de l'annexe 17 de la Convention de Chicago relative à la sureté de l'aviation civile.C'est ainsi que le Sénégal a élaboré son propre programme national de sureté de l'aviation civile (PNSAC).
Le 11 Septembre 2001, le monde de l’aviation civile a été marqué par un événement majeur posant ainsi la problématique de la sûreté et permettant la mise sur pied en octobre 2001, de La HAALSS qui se chargera de l’application de la coordination des mesures de sûreté à l'aéroport international Léopold Sédar Senghor.
En septembre 2011,la centrale électrique de l'aéroport qui assure l'alimentation des pistes et des équipements de navigation prend feu à 21h55 créant une indisponibilité d'une heure 30 mn.Occasionnant du même coup des désagréments comme l'avion de Sénégal Airlines dérouté vers Banjul pour y atterrir ou du vol de la RAM qui était obligé de faire une attente en l'air avant d'atterrir ou encore du vol Air France obligé de retarder son vol.
En 2013 l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar n’a pas accueilli d’avions hier pendant presqu'une journée pour cause de dérapage d’un avion militaire américain obligeant les autorités aéroportuaires à fermer l’aéroport. Résultat : des départs ont été annulés et d’autres vols détournés vers la Gambie ou la Mauritanie.
Les récentes découvertes de clandestins dans les avions en provenance du Sénégal commencent à bien faire et certains pays ne seraient pas opposés à classer Dakar dans la liste des aéroports les moins surs si la cadence continue.
Mais du coté de l'HAALSS,l'assurance de l' élèvement des normes de sécurité est actée et des formations régulières seront imposées à tous les acteurs de la plateforme pour ne pas perdre notre Transportation Security Administration (TSA) délivrée par l'agence américaine de sécurité des transports.