Monsieur le Maire de Sébikotane, notre hôte,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mesdames, Messieurs les Ministres,
Monsieur le Gouverneur de la région de Thiès,
Messieurs les Ambassadeurs de la République Française et de la République Populaire de Chine au Sénégal,
Mesdames, Messieurs les élus locaux,
Mesdames, Messieurs les représentants des partenaires techniques et financiers,
Autorités religieuses et coutumières,
Mesdames, Messieurs,
Je tiens tout d’abord à remercier chaleureusement les populations d e Sébikotane et de toutes les localités environnantes, pour leur accueil enthousiaste, dans la pure tradition de la Téranga sénégalaise. Je remercie également toutes les autorités de l’administration territoriale et les responsables politiques, pour le temps et les efforts consacrés à cette cérémonie.
Avant-hier, samedi, nous étions à Bokhol, pour inaugurer une centrale solaire de 20 MW ; une première dans l’histoire de notre pays, qui nous fait entrer dans l’ère des énergies propres.
Nous voilà aujourd’hui à Sébikotane, pour poser un autre jalon de notre marche résolue vers le Sénégal émergent, en procédant à l’ouverture officielle de l’autoroute Diamniadio-AIBD-Sindia. Voilà la voie du progrès et du développement, dont l’énergie et les infrastructures constituent deux forces motrices.
C’est tout un symbole que cette cérémonie se déroule ici à Sébikotane, ville-carrefour, célèbre pôle de l’agro business, connu pour ses fruits et légumes.
Les infrastructures, routières en particulier, figurent parmi les secteurs stratégiques du Plan Sénégal Emergent. Il ne peut y avoir de développement sans infrastructures.
C’est grâce aux routes et aux autoroutes que nous pouvons aller d’un point à l’autre du territoire national, assurer la circulation des personnes et le transport des marchandises, consolider l’intégration nationale, promouvoir le développement de nos terroirs et faciliter l’accès de nos produits locaux aux marchés.
Voilà tout le sens et la pertinence de notre programme d’infrastructures. Et nous sommes sur une bonne dynamique.
De l’indépendance à 2012, soit 52 ans, le réseau autoroutier du Sénégal était de 35 km, entre Dakar et Diamniadio.
Nous en avons ajouté 36 en quatre ans, avec la réalisation des tronçons Diamniado-AIBD (17 km) et AIBD-Sindia (19 km).
D’autres projets vont suivre, entre AIBD et Thiès, sur 16 km ; Thiès-Thiénaba-Tivaouane, sur 21 km et le projet majeur Thiès-Touba, communément appelé Ilaa Touba sur 113 km.
Au total, le réseau autoroutier national comptera 221 km d’autoroutes en 2019.
Notre vision est claire : il s’agit de doter notre pays d’un réseau routier et autoroutier moderne, répondant aux meilleurs standards, non seulement pour faciliter les liaisons entre nos villes, mais aussi pour rendre nos campagnes plus accessibles, en voyageant plus vite et dans de meilleures conditions de sécurité.
De plus, la connexion avec le nouvel aéroport international Blaise Diagne sera renforcée par le Train Express Régional, dont les travaux vont démarrer prochainement ; le montage technique et financier étant déjà bouclé.
Tout ce dispositif nous ouvrira au reste du monde en répondant aux exigences de confort, de mobilité et de gain de temps requis pour un aéroport qui ambitionne de se positionner en hub international de première classe.
Sur la route du progrès, nous ne devons restreindre nos ambitions ni dans la vision de ce que nous voulons faire, ni dans la mobilisation des moyens pour la réalisation de nos projets.
Ainsi, la section Diamniadio-AIBD a été réalisée selon un schéma de partenariat public privé pour un montant total de 92,2 milliardsde FCFA, dontun financement public de 69,2 milliards correspondant à la subvention versée par l’Etat,et un financement privé apporté par notre partenaire SENAC SA pour un montant de 23 milliards. Je voudrais saluer ici l’engagement à nos côtés de M. Gérard SENAC, pour un partenariat que nous voulons stratégique, durable et mutuellement bénéfique.
Je tiens également à remercier le Gouvernement français qui nous a accompagnés à travers l’Agence Française de Développement (AFD) dans la mobilisation du financement du projet Diamniadio-AIBD.
S’agissant du tronçon AIBD-SINDIA, d’un coût de 70 milliards de CFA, il a été réalisé dans le cadre du projet global de construction des deux projets d’au toroutes AIBD-MBOUR (39 km) et AIBD-THIES (16 Km), grâce à un prêt concessionnel d’EXIMBANK Chine.
Je réitère tous mes remerciements au Gouvernement chinois, pour son appui constant à notre programme d’infrastructures routières et à deux autres projets phares qui me tiennent particulièrement à cœur : le pont de Foundiougne, dont les travaux vont démarrer en début 2017, et le vaste projet de forages multi-villages dans le cadre du PUDC ; l’Accord pour le financement de ce projet devant être signé dans les prochains jours.
J’associe à ces remerciements toutes les entreprises chinoises qui travaillent avec nous dans le cadre de notre partenariat global avec la Chine, ainsi que tous nos autres partenaires qui nous soutiennent sur le volet infrastructures du PSE, dont la Banque Africaine de Développement et la Banque Islamique de Développement.
En matière d’infrastructures, notre objectif est d’étendre progressivement le réseau autoroutier national en raison de 50 Km par an.
C’est ainsi que les services compétents de l’Etat travaillent déjà sur deux autres projets d’autoroutes, notamment Mbour-Fatick-Kaolack et la dorsale côtière Dakar-Saint-Louis.
Je voudrais préciser ici que pour l’usage des autoroutes, le péage n’est pas juste une option, mais une nécessité. Ces infrastructures sont en effet très coûteuses pour le budget national, et rares sont les partenaires qui contribuent à leur financement. C’est donc par le péage que nous pourrons rembourser les prêts et assurer l’entretien des infrastructures. Ainsi, nous limitons l’endettement de l’Etat et nous assurons la durabilité de nos infrastructures.
Partout dans le monde, le développement des infrastructures comme celle que nous inaugurons aujourd’hui a un coût supporté en partie par les usagers. Soyons fiers de payer par nous-mêmes le coût de nos progrès et de notre développement.
Pour autant, je suis très soucieux des tarifs du péage. Pour moi , c’est d’abord une question d’inclusion, d’équité et de justice sociale. L’autoroute ne doit pas être perçue comme une voie réservée aux riches, qui ont les moyens de payer des tarifs élevés, mais comme une voie ouverte à tous, par l’application de tarifs supportables pour les usagers et économiquement viable pour l’entreprise concessionnaire.
Voilà pourquoi j’avais demandé à un comité interministériel supervisé par le Premier Ministre d’engager le dialogue avec la société SENAC SA,pour réduire les tarifs de péage initialement prévus.
Ces négociations se sont déroulées dans un véritable esprit d’ouverture pour arriver à des tarifs consensuels.
Le tarif initial prévu entre Diamniadio et AIBD était de 1600 FCFA, auxquels il fallait ajouter 800 FCFA sur le tronçon AIBD-SINDIA, soit au total 2400 FCFA.
Avec les tarifs révisés, l’usager qui voudra se rendre de Diamniadio jusqu’à SINDIA payera en définitive 1600 FCFA, au lieu de 2400 FCFA, soit une réduction de 800 FCFA. Et c’est le même tarif de 1600 Francs qui sera appliqué quand l’autoroute sera prolongée jusqu’à Mbour.
Je félicite le Comité interministériel pour le travail accompli. Je dois aussi remercier notre partenaire Gérard SENAC pour son esprit d’ouverture et sa pleine coopération.
Je me réjouis également des 1750 emplois créés ici pendant la réalisation de ces infrastructures dont l’exploitation mobilisera 100 employés permanents.
En plus des infrastructures déjà achevées ou en cours, d’autres projets vont bientôt démarrer, notamment la route Sédhiou-Marsassoum (appelée Boucle du Boudier), Kédougou-Salémata ; la dorsale de l’île à Morphile ; Dabo-Médina-Yoro-Foulah, et Bambey-Baba Garage.
A cela s’ajoute la réhabilitation des routes Ndioum-Ourossogui-Bakel ; Tambacounda-Bakel et Dialocoto-Mako.
Quant au Programme de Modernisation des Villes (PROMO-VILLES) que j’ai lancé au mois de juillet dernier, il va entrer dans sa phase active avant la fin de l’année à Dakar, Kaolack, Diourbel et Gossas. Il sera étendu à d’autres villes avec le financement additionnel attendu de la Banque Africaine de Développement.
Je saisis l’occasion pour appeler une nouvelle fois au respect des règles de sécurité et de sûreté routières. Nos routes font trop de morts souvent par la faute d’usagers imprudents. S’il le faut, nous devons envisager la réforme de la législation pour rendre plus dissuasives les sanctions appliquées à certaines infractions routières.
Je voudrais terminer en félicitant chaleureusement le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne, le Ministre Mansour Elimane Kane, en charge des Infrastructures, des Transports terrestres et du désenclavement, ainsi que les Directeurs généraux de l’AGEROUTE et de l’APIX et l’ensemble de leurs collaborateurs engagés au quotidien dans la réalisation de cette belle infrastructure.
Je n’oublie pas tout le personnel mobilisé ici, des ingénieurs aux ouvriers.
De la conception au montage financier et à l’exécution sur le terrain, la réalisation des infrastructures est un travail complexe, lourd et fastidieux, qui exige de l’ingéniosité, des efforts et une disponibilité permanente pour arriver au bon résultat. C’est qui a été fait ici. J’en suis très satisfait.
Nous devons continuer sur cette dynamique pour aller de l’avant sur la voie du Sénégal émergent !
Je vous remercie de votre aimable attention.
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mesdames, Messieurs les Ministres,
Monsieur le Gouverneur de la région de Thiès,
Messieurs les Ambassadeurs de la République Française et de la République Populaire de Chine au Sénégal,
Mesdames, Messieurs les élus locaux,
Mesdames, Messieurs les représentants des partenaires techniques et financiers,
Autorités religieuses et coutumières,
Mesdames, Messieurs,
Je tiens tout d’abord à remercier chaleureusement les populations d e Sébikotane et de toutes les localités environnantes, pour leur accueil enthousiaste, dans la pure tradition de la Téranga sénégalaise. Je remercie également toutes les autorités de l’administration territoriale et les responsables politiques, pour le temps et les efforts consacrés à cette cérémonie.
Avant-hier, samedi, nous étions à Bokhol, pour inaugurer une centrale solaire de 20 MW ; une première dans l’histoire de notre pays, qui nous fait entrer dans l’ère des énergies propres.
Nous voilà aujourd’hui à Sébikotane, pour poser un autre jalon de notre marche résolue vers le Sénégal émergent, en procédant à l’ouverture officielle de l’autoroute Diamniadio-AIBD-Sindia. Voilà la voie du progrès et du développement, dont l’énergie et les infrastructures constituent deux forces motrices.
C’est tout un symbole que cette cérémonie se déroule ici à Sébikotane, ville-carrefour, célèbre pôle de l’agro business, connu pour ses fruits et légumes.
Les infrastructures, routières en particulier, figurent parmi les secteurs stratégiques du Plan Sénégal Emergent. Il ne peut y avoir de développement sans infrastructures.
C’est grâce aux routes et aux autoroutes que nous pouvons aller d’un point à l’autre du territoire national, assurer la circulation des personnes et le transport des marchandises, consolider l’intégration nationale, promouvoir le développement de nos terroirs et faciliter l’accès de nos produits locaux aux marchés.
Voilà tout le sens et la pertinence de notre programme d’infrastructures. Et nous sommes sur une bonne dynamique.
De l’indépendance à 2012, soit 52 ans, le réseau autoroutier du Sénégal était de 35 km, entre Dakar et Diamniadio.
Nous en avons ajouté 36 en quatre ans, avec la réalisation des tronçons Diamniado-AIBD (17 km) et AIBD-Sindia (19 km).
D’autres projets vont suivre, entre AIBD et Thiès, sur 16 km ; Thiès-Thiénaba-Tivaouane, sur 21 km et le projet majeur Thiès-Touba, communément appelé Ilaa Touba sur 113 km.
Au total, le réseau autoroutier national comptera 221 km d’autoroutes en 2019.
Notre vision est claire : il s’agit de doter notre pays d’un réseau routier et autoroutier moderne, répondant aux meilleurs standards, non seulement pour faciliter les liaisons entre nos villes, mais aussi pour rendre nos campagnes plus accessibles, en voyageant plus vite et dans de meilleures conditions de sécurité.
De plus, la connexion avec le nouvel aéroport international Blaise Diagne sera renforcée par le Train Express Régional, dont les travaux vont démarrer prochainement ; le montage technique et financier étant déjà bouclé.
Tout ce dispositif nous ouvrira au reste du monde en répondant aux exigences de confort, de mobilité et de gain de temps requis pour un aéroport qui ambitionne de se positionner en hub international de première classe.
Sur la route du progrès, nous ne devons restreindre nos ambitions ni dans la vision de ce que nous voulons faire, ni dans la mobilisation des moyens pour la réalisation de nos projets.
Ainsi, la section Diamniadio-AIBD a été réalisée selon un schéma de partenariat public privé pour un montant total de 92,2 milliardsde FCFA, dontun financement public de 69,2 milliards correspondant à la subvention versée par l’Etat,et un financement privé apporté par notre partenaire SENAC SA pour un montant de 23 milliards. Je voudrais saluer ici l’engagement à nos côtés de M. Gérard SENAC, pour un partenariat que nous voulons stratégique, durable et mutuellement bénéfique.
Je tiens également à remercier le Gouvernement français qui nous a accompagnés à travers l’Agence Française de Développement (AFD) dans la mobilisation du financement du projet Diamniadio-AIBD.
S’agissant du tronçon AIBD-SINDIA, d’un coût de 70 milliards de CFA, il a été réalisé dans le cadre du projet global de construction des deux projets d’au toroutes AIBD-MBOUR (39 km) et AIBD-THIES (16 Km), grâce à un prêt concessionnel d’EXIMBANK Chine.
Je réitère tous mes remerciements au Gouvernement chinois, pour son appui constant à notre programme d’infrastructures routières et à deux autres projets phares qui me tiennent particulièrement à cœur : le pont de Foundiougne, dont les travaux vont démarrer en début 2017, et le vaste projet de forages multi-villages dans le cadre du PUDC ; l’Accord pour le financement de ce projet devant être signé dans les prochains jours.
J’associe à ces remerciements toutes les entreprises chinoises qui travaillent avec nous dans le cadre de notre partenariat global avec la Chine, ainsi que tous nos autres partenaires qui nous soutiennent sur le volet infrastructures du PSE, dont la Banque Africaine de Développement et la Banque Islamique de Développement.
En matière d’infrastructures, notre objectif est d’étendre progressivement le réseau autoroutier national en raison de 50 Km par an.
C’est ainsi que les services compétents de l’Etat travaillent déjà sur deux autres projets d’autoroutes, notamment Mbour-Fatick-Kaolack et la dorsale côtière Dakar-Saint-Louis.
Je voudrais préciser ici que pour l’usage des autoroutes, le péage n’est pas juste une option, mais une nécessité. Ces infrastructures sont en effet très coûteuses pour le budget national, et rares sont les partenaires qui contribuent à leur financement. C’est donc par le péage que nous pourrons rembourser les prêts et assurer l’entretien des infrastructures. Ainsi, nous limitons l’endettement de l’Etat et nous assurons la durabilité de nos infrastructures.
Partout dans le monde, le développement des infrastructures comme celle que nous inaugurons aujourd’hui a un coût supporté en partie par les usagers. Soyons fiers de payer par nous-mêmes le coût de nos progrès et de notre développement.
Pour autant, je suis très soucieux des tarifs du péage. Pour moi , c’est d’abord une question d’inclusion, d’équité et de justice sociale. L’autoroute ne doit pas être perçue comme une voie réservée aux riches, qui ont les moyens de payer des tarifs élevés, mais comme une voie ouverte à tous, par l’application de tarifs supportables pour les usagers et économiquement viable pour l’entreprise concessionnaire.
Voilà pourquoi j’avais demandé à un comité interministériel supervisé par le Premier Ministre d’engager le dialogue avec la société SENAC SA,pour réduire les tarifs de péage initialement prévus.
Ces négociations se sont déroulées dans un véritable esprit d’ouverture pour arriver à des tarifs consensuels.
Le tarif initial prévu entre Diamniadio et AIBD était de 1600 FCFA, auxquels il fallait ajouter 800 FCFA sur le tronçon AIBD-SINDIA, soit au total 2400 FCFA.
Avec les tarifs révisés, l’usager qui voudra se rendre de Diamniadio jusqu’à SINDIA payera en définitive 1600 FCFA, au lieu de 2400 FCFA, soit une réduction de 800 FCFA. Et c’est le même tarif de 1600 Francs qui sera appliqué quand l’autoroute sera prolongée jusqu’à Mbour.
Je félicite le Comité interministériel pour le travail accompli. Je dois aussi remercier notre partenaire Gérard SENAC pour son esprit d’ouverture et sa pleine coopération.
Je me réjouis également des 1750 emplois créés ici pendant la réalisation de ces infrastructures dont l’exploitation mobilisera 100 employés permanents.
En plus des infrastructures déjà achevées ou en cours, d’autres projets vont bientôt démarrer, notamment la route Sédhiou-Marsassoum (appelée Boucle du Boudier), Kédougou-Salémata ; la dorsale de l’île à Morphile ; Dabo-Médina-Yoro-Foulah, et Bambey-Baba Garage.
A cela s’ajoute la réhabilitation des routes Ndioum-Ourossogui-Bakel ; Tambacounda-Bakel et Dialocoto-Mako.
Quant au Programme de Modernisation des Villes (PROMO-VILLES) que j’ai lancé au mois de juillet dernier, il va entrer dans sa phase active avant la fin de l’année à Dakar, Kaolack, Diourbel et Gossas. Il sera étendu à d’autres villes avec le financement additionnel attendu de la Banque Africaine de Développement.
Je saisis l’occasion pour appeler une nouvelle fois au respect des règles de sécurité et de sûreté routières. Nos routes font trop de morts souvent par la faute d’usagers imprudents. S’il le faut, nous devons envisager la réforme de la législation pour rendre plus dissuasives les sanctions appliquées à certaines infractions routières.
Je voudrais terminer en félicitant chaleureusement le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne, le Ministre Mansour Elimane Kane, en charge des Infrastructures, des Transports terrestres et du désenclavement, ainsi que les Directeurs généraux de l’AGEROUTE et de l’APIX et l’ensemble de leurs collaborateurs engagés au quotidien dans la réalisation de cette belle infrastructure.
Je n’oublie pas tout le personnel mobilisé ici, des ingénieurs aux ouvriers.
De la conception au montage financier et à l’exécution sur le terrain, la réalisation des infrastructures est un travail complexe, lourd et fastidieux, qui exige de l’ingéniosité, des efforts et une disponibilité permanente pour arriver au bon résultat. C’est qui a été fait ici. J’en suis très satisfait.
Nous devons continuer sur cette dynamique pour aller de l’avant sur la voie du Sénégal émergent !
Je vous remercie de votre aimable attention.