
La campagne d’immatriculation gratuite des deux-roues a permis d’enregistrer un nombre inédit de véhicules en un laps de temps. « Toutefois, en raison de la forte affluence constatée dans les services régionaux et des nombreuses demandes encore en attente, le Premier Ministre a consenti à une prorogation exceptionnelle de 02 mois, soit jusqu’au 25 mai 2025. Au-delà de cette date, aucune autre prorogation ne sera accordée », a annoncé le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, Yankoba Diémè.
Sur ce, le ministre invite tous les propriétaires de véhicules deux-roues qui ne l’ont pas encore fait à se rendre immédiatement dans les services compétents pour immatriculer leur moto. « C’est une seconde chance pour se conformer aux exigences légales sans risquer d’amendes ni l’immobilisation pure et simple de leur véhicule par les forces de défense et de sécurité. À compter du 25 mai 2025, aucune dérogation ni tolérance ne sera accordée », a-t-il dit.
En plus clair, à compter du 25 mai 2025, précise le ministre en charge des Transports terrestres et aériens, toute moto non immatriculée sera considérée en « infraction » et fera l’objet de sanctions immédiates, incluant des amendes et l’immobilisation du véhicule par les forces de défense et de sécurité. « Nous savons pouvoir compter sur la responsabilité de chacun pour mener cette opération à son terme dans les meilleures conditions », a-t-il conclu.
Le Soleil
Sur ce, le ministre invite tous les propriétaires de véhicules deux-roues qui ne l’ont pas encore fait à se rendre immédiatement dans les services compétents pour immatriculer leur moto. « C’est une seconde chance pour se conformer aux exigences légales sans risquer d’amendes ni l’immobilisation pure et simple de leur véhicule par les forces de défense et de sécurité. À compter du 25 mai 2025, aucune dérogation ni tolérance ne sera accordée », a-t-il dit.
En plus clair, à compter du 25 mai 2025, précise le ministre en charge des Transports terrestres et aériens, toute moto non immatriculée sera considérée en « infraction » et fera l’objet de sanctions immédiates, incluant des amendes et l’immobilisation du véhicule par les forces de défense et de sécurité. « Nous savons pouvoir compter sur la responsabilité de chacun pour mener cette opération à son terme dans les meilleures conditions », a-t-il conclu.
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