Le secrétaire général des imams et Oulémas du Sénégal a recouvré la liberté après avoir passé trois mois derrière les barreaux. Un emprisonnement qui fait suite à l’exécution de la contrainte par corps des promoteurs de la Sci Galoya partie civile dans cette procédure relative à la construction de cantines au Centre commercial de la grande mosquée de Dakar. Un dénouement heureux qu’il savoure avec son acolyte Amadou Ly dit Amada qui a été le premier à subir les contrecoups de l’exécution de cette contrainte par corps pour avoir été envoyé en prison depuis novembre 2016. En effet, en plus d’avoir été condamné tous deux à un an avec sursis pour escroquerie et faux usage de faux, les mis en cause ont été également condamné à payer 360 millions en guise de dommages et intérêts.
Pour rappel, depuis l’arrestation de l’imam Diène à la veille de la Tabaski, le secrétaire des imams et oulémas du Sénégal a multiplié les procédures au niveau du tribunal des référés pour obtenir une mise en liberté provisoire. Cependant, ses demandes ont toutes été rejetées par le juge. En effet, pour espérer une liberté provisoire, seules trois options s’offraient aux prévenus. Il s’agit de verser une caution d’un montant qui puisse couvrir le préjudice des plaignants, à défaut de cautionner des maisons ou biens en gage, ou encore la médiation pénale. Et, c’est cette dernière possibilité qui a fini par porter ses fruits. En effet, les proches des prévenus ont mis la pression aux plaignants pour plaider en faveur de l’imam et de l’homme d’affaires. En contre partie de cette liberté, les prévenus se sont engagés à désintéresser les plaignants de la Sci Galoya.
Pour rappel, depuis l’arrestation de l’imam Diène à la veille de la Tabaski, le secrétaire des imams et oulémas du Sénégal a multiplié les procédures au niveau du tribunal des référés pour obtenir une mise en liberté provisoire. Cependant, ses demandes ont toutes été rejetées par le juge. En effet, pour espérer une liberté provisoire, seules trois options s’offraient aux prévenus. Il s’agit de verser une caution d’un montant qui puisse couvrir le préjudice des plaignants, à défaut de cautionner des maisons ou biens en gage, ou encore la médiation pénale. Et, c’est cette dernière possibilité qui a fini par porter ses fruits. En effet, les proches des prévenus ont mis la pression aux plaignants pour plaider en faveur de l’imam et de l’homme d’affaires. En contre partie de cette liberté, les prévenus se sont engagés à désintéresser les plaignants de la Sci Galoya.