Pour Mamadou Thiam, Idrissa Seck ne conçoit le progrès dans notre pays qu'à condition d'en être le Président de la République. Il oublie que le choix d'un Président incombe aux Sénégalais qui, à plusieurs reprises, l'ont jugé indigne des charges de Chef de l'Etat. Malheureusement pour Idrissa Seck, incapable d'interpréter judicieusement les choix éclairés de ses compatriotes, ce qui est bon, c'est forcément ce qui émane de sa petite personne. Idrissa Seck est incapable de comprendre et d'accepter les progrès réalisés dans notre pays dès l'instant que l'impulsion est donnée par une personne autre que lui-même.
C'est la raison pour laquelle, Idrissa Seck ne verra jamais d'un bon œil les multiples avancées démocratiques, économiques et sociales impulsées par le Président Macky Sall. Il est programmé à dire non à tout lorsqu'il s'agit de quelqu'un d'autre, en feignant d'ignorer que le Peuple lui a toujours rendu sa politesse en lui disant non à plusieurs reprises lors des principales élections nationales auxquelles Idrissa Seck a pris part.
Ce qui pousse Mamadou Thiam, conseiller spécial du Président de la République à conclure que Idrissa Seck n'aime pas le Sénégal. Mamadou Thiam s'est exprimé lors d'une conférence publique sur le référendum et les raisons de voter Oui. C'était en France, ce vendredi 18 mars 2016, en marge de la validation de la section APR de Noyon, dirigée par Mme Aminata Demba Thiam, ancienne responsable de Rewmi à Compiègne, l'une des villes les plus fréquentées par Idrissa Seck en France.
Une cérémonie de validation qui a noté la participation de plusieurs responsables politiques de haut niveau de l'APR (voir par ailleurs).
Mamadou Thiam a passé en revue les différents points soumis au référendum. Il a noté, pour le déplorer, qu’aucun leader politique de l’opposition n’a été capable de produire des arguments probants pour justifier leur appel à voter non. Il a mis au défi l’opposition de dire clairement à la diaspora qu’elle s’opposait à la possibilité qu’offrira la nouvelle constitution à la communauté des sénégalais de l’extérieur de disposer de députés à eux dédiés.
Mamadou Thiam a aussi demandé aux opposant de préciser pourquoi ils ne veulent pas que tout citoyen puisse briguer les suffrages des sénégalais et en quoi il serait opportun de faire des politiciens les seuls dignes de représenter les sénégalais.
Poursuivant son interrogation Mamadou Thiam a demandé aux opposants d’expliquer en quoi le droit de regard conféré aux citoyens dans la gestion du patrimoine foncier fait l’objet d’un rejet de la part de l’opposition.
Ainsi, le conseiller spécial du Président Macky Sall a noté pour s’en désoler, que l’appel au non pour le référendum est un appel subjectif qui ne tient pas compte du sens des réformes, encore moins de leur portée.
Il a déploré cette conception politicienne qui met l’adversité politique au dessus de l’intérêt général.
Mamadou Thiam a expliqué au public nombreux venu assister à la conférence, les raisons de voter Oui lors du référendum du 20 mars. M. Thiam a mis en avant le fait que le Président Macky Sall dont l’objectif est le renforcement des citoyens, la consolidation de la démocratie pour un Sénégal résolument tourné vers le progrès et l’émergence, a volontairement proposé que ses prérogatives soient partagées avec d’autres institutions pour un meilleur équilibre dans la gestion du pays.
Ce qui constitue à ses yeux une marque d’engagement et renoncement majeurs à encourager et à préserver. Car, en définitive, a conclu monsieur Thiam, l’intérêt général doit primer sur les ambitions et projets individuels.
C'est la raison pour laquelle, Idrissa Seck ne verra jamais d'un bon œil les multiples avancées démocratiques, économiques et sociales impulsées par le Président Macky Sall. Il est programmé à dire non à tout lorsqu'il s'agit de quelqu'un d'autre, en feignant d'ignorer que le Peuple lui a toujours rendu sa politesse en lui disant non à plusieurs reprises lors des principales élections nationales auxquelles Idrissa Seck a pris part.
Ce qui pousse Mamadou Thiam, conseiller spécial du Président de la République à conclure que Idrissa Seck n'aime pas le Sénégal. Mamadou Thiam s'est exprimé lors d'une conférence publique sur le référendum et les raisons de voter Oui. C'était en France, ce vendredi 18 mars 2016, en marge de la validation de la section APR de Noyon, dirigée par Mme Aminata Demba Thiam, ancienne responsable de Rewmi à Compiègne, l'une des villes les plus fréquentées par Idrissa Seck en France.
Une cérémonie de validation qui a noté la participation de plusieurs responsables politiques de haut niveau de l'APR (voir par ailleurs).
Mamadou Thiam a passé en revue les différents points soumis au référendum. Il a noté, pour le déplorer, qu’aucun leader politique de l’opposition n’a été capable de produire des arguments probants pour justifier leur appel à voter non. Il a mis au défi l’opposition de dire clairement à la diaspora qu’elle s’opposait à la possibilité qu’offrira la nouvelle constitution à la communauté des sénégalais de l’extérieur de disposer de députés à eux dédiés.
Mamadou Thiam a aussi demandé aux opposant de préciser pourquoi ils ne veulent pas que tout citoyen puisse briguer les suffrages des sénégalais et en quoi il serait opportun de faire des politiciens les seuls dignes de représenter les sénégalais.
Poursuivant son interrogation Mamadou Thiam a demandé aux opposants d’expliquer en quoi le droit de regard conféré aux citoyens dans la gestion du patrimoine foncier fait l’objet d’un rejet de la part de l’opposition.
Ainsi, le conseiller spécial du Président Macky Sall a noté pour s’en désoler, que l’appel au non pour le référendum est un appel subjectif qui ne tient pas compte du sens des réformes, encore moins de leur portée.
Il a déploré cette conception politicienne qui met l’adversité politique au dessus de l’intérêt général.
Mamadou Thiam a expliqué au public nombreux venu assister à la conférence, les raisons de voter Oui lors du référendum du 20 mars. M. Thiam a mis en avant le fait que le Président Macky Sall dont l’objectif est le renforcement des citoyens, la consolidation de la démocratie pour un Sénégal résolument tourné vers le progrès et l’émergence, a volontairement proposé que ses prérogatives soient partagées avec d’autres institutions pour un meilleur équilibre dans la gestion du pays.
Ce qui constitue à ses yeux une marque d’engagement et renoncement majeurs à encourager et à préserver. Car, en définitive, a conclu monsieur Thiam, l’intérêt général doit primer sur les ambitions et projets individuels.