Idrissa Seck ne veut plus jamais parler du deal de l’Etat pour libérer Karim Wade. Il en a fait part à à Touba, au sortir d’une viste au domicile du khalife général des mourides, Serigne Cheikh Sidy Mactar Mbacké.
«Pour moi, l’affaire du deal concernant Karim Wade est une page tournée. Je pense qu’au moment où le peuple sénégalais vit des difficultés de toutes natures, au moment où nos compatriotes souffrent dans leur quotidien, je ne souhaite vraiment pas revenir sur cette question», a-t-il déclaré.
S’agissant de la situation politique, économique et sociale que traverse le pays, le leader de Rewmi de marteler «je trouve inutile de faire la situation politique et économique du Sénégal, parce que ce qui est directement vécu par le peuple est aussi vécu partout.»
«La recrudescence de la violence au Sénégal fait partie des difficultés dont je faisais état. L’insécurité a atteint des proportions jamais connues dans l’histoire de notre pays, le Sénégal. Je pense que la situation parle d’elle-même», souligne le leader du Parti Rewmi.
Quant aux inscriptions sur les listes électorales, l’ancien Premier ministre dira que «le dispositif lui-même n’est pas propice à des inscriptions massives. Et je pense que cela appelle à des correctifs si nous voulons arriver à un fichier électoral ».
«Pour moi, l’affaire du deal concernant Karim Wade est une page tournée. Je pense qu’au moment où le peuple sénégalais vit des difficultés de toutes natures, au moment où nos compatriotes souffrent dans leur quotidien, je ne souhaite vraiment pas revenir sur cette question», a-t-il déclaré.
S’agissant de la situation politique, économique et sociale que traverse le pays, le leader de Rewmi de marteler «je trouve inutile de faire la situation politique et économique du Sénégal, parce que ce qui est directement vécu par le peuple est aussi vécu partout.»
«La recrudescence de la violence au Sénégal fait partie des difficultés dont je faisais état. L’insécurité a atteint des proportions jamais connues dans l’histoire de notre pays, le Sénégal. Je pense que la situation parle d’elle-même», souligne le leader du Parti Rewmi.
Quant aux inscriptions sur les listes électorales, l’ancien Premier ministre dira que «le dispositif lui-même n’est pas propice à des inscriptions massives. Et je pense que cela appelle à des correctifs si nous voulons arriver à un fichier électoral ».