Le candidat du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR), Issa Sall a promis, dimanche à Louga, s’il est élu président de la République de construire un hôpital moderne et une université de proximité dans chacun des 45 départements du pays, ainsi qu’un centre de santé dans chaque commune.
"La santé est une priorité dans notre programme de développement. Nous veillerons à ce qu’il y ait un hôpital moderne dans les 45 départements du pays ainsi que des universités de proximité et autres infrastructures", a dit le candidat à l’élection présidentielle du 24 février prochain.
S’exprimant lors de son meeting politique départemental à Louga, Issa Sall a soutenu que ces infrastructures de base seront réalisées de concert avec les conseillers municipaux et départementaux.
"Nous leur doterons (conseillers locaux) de suffisamment de moyens financiers. Ce sera à eux, de faire des délibérations pour affecter des assiettes foncières pour la construction soit d’un hôpital, d’une école, d’une université, d’un foyer des jeunes, d’un stade, d’une gendarmerie ou d’un poste de police", a-t-il expliqué.
Selon Issa Sall, les terrains devant abriter ces infrastructures ne couteront rien à l’Etat. "Nous ferons de même pour construire dans chacune des 550 communes du pays un centre de santé moderne", a soutenu le candidat du PUR.
Cependant, le professeur Issa Sall a promis, d’abord, de "procéder au découpage des collectivités territoriales pour équilibrer et libérer plus d’espace pour accueillir les nouvelles infrastructures".
"Ce n’est qu’après cela qu’on pourra démarrer la construction. Et les chantiers ne seront pas donnés à une seule entreprise, mais ce sera à chaque département de choisir son entrepreneur afin que les travaux puissent être réalisés de manière parallèle", a-t-il assuré.
Par ailleurs, a laissé entendre le professeur Issa Sall, les enseignants et les médecins de ces futures structures seront choisis parmi les diplômés du pays.
"Nous avons la terre, l’argent pour construire, les médecins et les enseignants, il ne restera que le plateau médical et avec quelques milliards, on pourra équiper, avec du matériel numérique, tous ces hôpitaux des 45 départements", a dit M. Sall.
Dans le même registre, il dit accorder une "grande priorité" à la médecine préventive. "Nous ferons de la prévention en vaccinant obligatoirement les enfants. Nous accorderons aussi de l’importance à la médecine prédictive et à la médecine curative", a fait remarquer Issa Sall.
Le leader du PUR a aussi relevé que "toutes les personnes atteintes de maladies chroniques seront recensées et qu’une carte avec leur groupe sanguin leur sera délivrée pour faciliter leur soin".
Il a, par ailleurs, déclaré qu’il veillera à ce que "l’école arabe et française soit dotée du même budget de fonctionnement pour que chaque enfant ait les mêmes conditions d’étude".
"Nous allons accorder beaucoup d’importance à l’apprentissage des langues locales, mais nous allons renforcer l’apprentissage du français et de l’anglais qui sera enseigné depuis le primaire", a-t-il indiqué.
"La santé est une priorité dans notre programme de développement. Nous veillerons à ce qu’il y ait un hôpital moderne dans les 45 départements du pays ainsi que des universités de proximité et autres infrastructures", a dit le candidat à l’élection présidentielle du 24 février prochain.
S’exprimant lors de son meeting politique départemental à Louga, Issa Sall a soutenu que ces infrastructures de base seront réalisées de concert avec les conseillers municipaux et départementaux.
"Nous leur doterons (conseillers locaux) de suffisamment de moyens financiers. Ce sera à eux, de faire des délibérations pour affecter des assiettes foncières pour la construction soit d’un hôpital, d’une école, d’une université, d’un foyer des jeunes, d’un stade, d’une gendarmerie ou d’un poste de police", a-t-il expliqué.
Selon Issa Sall, les terrains devant abriter ces infrastructures ne couteront rien à l’Etat. "Nous ferons de même pour construire dans chacune des 550 communes du pays un centre de santé moderne", a soutenu le candidat du PUR.
Cependant, le professeur Issa Sall a promis, d’abord, de "procéder au découpage des collectivités territoriales pour équilibrer et libérer plus d’espace pour accueillir les nouvelles infrastructures".
"Ce n’est qu’après cela qu’on pourra démarrer la construction. Et les chantiers ne seront pas donnés à une seule entreprise, mais ce sera à chaque département de choisir son entrepreneur afin que les travaux puissent être réalisés de manière parallèle", a-t-il assuré.
Par ailleurs, a laissé entendre le professeur Issa Sall, les enseignants et les médecins de ces futures structures seront choisis parmi les diplômés du pays.
"Nous avons la terre, l’argent pour construire, les médecins et les enseignants, il ne restera que le plateau médical et avec quelques milliards, on pourra équiper, avec du matériel numérique, tous ces hôpitaux des 45 départements", a dit M. Sall.
Dans le même registre, il dit accorder une "grande priorité" à la médecine préventive. "Nous ferons de la prévention en vaccinant obligatoirement les enfants. Nous accorderons aussi de l’importance à la médecine prédictive et à la médecine curative", a fait remarquer Issa Sall.
Le leader du PUR a aussi relevé que "toutes les personnes atteintes de maladies chroniques seront recensées et qu’une carte avec leur groupe sanguin leur sera délivrée pour faciliter leur soin".
Il a, par ailleurs, déclaré qu’il veillera à ce que "l’école arabe et française soit dotée du même budget de fonctionnement pour que chaque enfant ait les mêmes conditions d’étude".
"Nous allons accorder beaucoup d’importance à l’apprentissage des langues locales, mais nous allons renforcer l’apprentissage du français et de l’anglais qui sera enseigné depuis le primaire", a-t-il indiqué.