Elle risque dix ans de prison pour infanticide. Aida Mbodj, femme d’un émigré et mère de 8 enfants, a contracté une grossesse issue de relations adultérines avec son amant, un homme marié. L’affaire a été enrôlée hier au cours d’une audience de la chambre criminelle de Dakar. En effet, après une longue absence de son mari parti chercher fortune à l’étranger, l’épouse qui réside à Guédiawaye passait du bon temps avec son amant. Enceinte, elle parvient à accoucher sans assistance, avant de décider de jeter le nouveau-né dans les égouts.
Le voisinage sera informé de la découverte du corps sans vie d’un nouveau-né de sexe masculin, évacué par la police et les sapeurs pompiers, à l’hôpital Le Dantec, pour autopsie. Laquelle autopsie conclut à une «asphyxie mécanique à la suite de la présence de sable dans les voies respiratoires», rapporte le quotidien Lobservateur. Mais il ne sera pas difficile aux policiers de mettre la main sur Aida Mbodji qui s’était rendue à l’hôpital pour se soigner, en compagnie de sa mère.
Elle y sera arrêtée. Devant la barre de la chambre criminelle, elle a dit regretter son acte qu’elle explique par le désespoir, d’autant que l’auteur de la grossesse, soutient-elle, avait refusé la paternité de l’enfant. Dix ans de travaux forcés ont été requis contre la femme de l’émigrée, qui sera édifiée sur son sort, le 20 juin prochain.
seneweb.com
Le voisinage sera informé de la découverte du corps sans vie d’un nouveau-né de sexe masculin, évacué par la police et les sapeurs pompiers, à l’hôpital Le Dantec, pour autopsie. Laquelle autopsie conclut à une «asphyxie mécanique à la suite de la présence de sable dans les voies respiratoires», rapporte le quotidien Lobservateur. Mais il ne sera pas difficile aux policiers de mettre la main sur Aida Mbodji qui s’était rendue à l’hôpital pour se soigner, en compagnie de sa mère.
Elle y sera arrêtée. Devant la barre de la chambre criminelle, elle a dit regretter son acte qu’elle explique par le désespoir, d’autant que l’auteur de la grossesse, soutient-elle, avait refusé la paternité de l’enfant. Dix ans de travaux forcés ont été requis contre la femme de l’émigrée, qui sera édifiée sur son sort, le 20 juin prochain.
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