Le président du parti Rewmi Idrissa Seck, candidat de la coalition "Idy 2019" a prédit, samedi à Thiès, que Macky Sall, va "être le premier président sortant de l’histoire politique du Sénégal à n’exercer qu’un seul mandat et à être battu dès le premier tour".
"Le président de l’APR (Alliance pour la République) est le premier président de l’histoire politique du Sénégal à ne faire qu’un seul mandat", a dit Idrissa Seck arrivé après 21 heures à la Promenade des Thiessois où s’est tenu son meeting d’ouverture de la campagne pour l’élection présidentielle du 24 février.
Idrissa Seck visiblement revigoré par la haie d’honneur qui l’a accueilli sur l’avenue Caen sur plus de deux kilomètres ralentissant sa progression vers le lieu du rassemblement où l’attendaient aussi une foule nombreuse et ses alliés politiques, a salué la "mobilisation exceptionnelle".
"J’ai vu des enseignants, des étudiants, des femmes, des personnes du troisième âge marcher et ils ont tous marché au cri de ‘nous en avons assez du régime actuel", a-t-il lancé du haut de son véhicule, empêché par la foule compacte d’accéder à la tribune érigée pour l’occasion.
"Ce sera aussi le premier président de l’histoire politique du Sénégal à être battu dès le premier tour", a ajouté l’ancien Premier ministre et ex. maire de la ville de Thiès.
"C’est ce que les jeunes, les femmes et les anciens m’ont dit tout au long de la caravane qui nous a conduits à cette Promenade des Thiessois", a lancé l’homme politique.
Pour Idrissa Seck, les "plans" des tenants du pouvoir qui ont consisté à éliminer leurs adversaires politiques comme Khalifa Sall, Karim Wade, ainsi que les autres à travers le filtre du parrainage n’ont servi à rien.
"Ils auraient pu nous emprisonner tous, nous éliminer tous par des manigances de parrainage, mais s’il en restait un seul, il le battrait parce que, le peuple veut s’opposer à la poursuite de sept ans de souffrance" estime t-il.
"Ce qui fait qu’ils n’échapperont pas, c’est qu’ils n’ont pas affaire aux hommes politiques, mais au peuple sénégalais auquel ils ont fait du tort" a fait noter le candidat de "Idy 2019".
"Il (Macky Sall) n’a pas compris (…) qu’être président du Sénégal exige de la hauteur, de la sagesse, de la mansuétude, de la bonté envers les populations. On ne dirige pas un peuple comme le Sénégal par la force et le ‘gnangal’ (renfrognement)", a-t-il dit.
Pour Idrissa Seck, "la culture, la générosité et la capacité de pardonner sont autant de valeurs nécessaires pour prétendre à diriger le Sénégal".
Le leader de "Idy 2019" estime que le président sortant, "en attaquant l’ancien président Abdoulaye Wade qui lui a tout donné n’a pas compris que le Sénégalais ne tolère pas qu’on touche à ses symboles".
"En agressant judiciairement ses adversaires, il n’a pas compris que le peuple sénégalais ne tolère pas l’injustice" analyse t-il.
"En mettant à genoux notre système éducatif, notre système de santé. En accaparant l’économie du pays au service de sa dynastie Faye-Sall, il n’a pas compris que le peuple sénégalais ne tolère pas que le dirigeant s’occupe de lui-même plus que des préoccupations des populations", a-t-il poursuivi.
"L’attribution de l’économie du pays aux étrangers et le degré d’endettement du pays sont aussi des injustices" qui motivent le rejet par les populations du pouvoir actuel, a soutenu l’ancien Premier ministre.
Qui fait remarquer : "pour toutes ces raisons, j’ai cru (à vos assurances) en cours de route, d’une victoire au premier tour".
"La première économie budgétaire que nous devons faire au Sénégal c’est d’éviter de gaspiller son argent pour l’organisation d’un deuxième tour, parce que le peuple peut résoudre le problème dès le 24 février", a ajouté le candidat Idrissa Seck.
Il a assuré aux Thiessois que son "premier gros projet" après son élection sera la "reconstitution de la ligne Dakar-Bamako".
aps
"Le président de l’APR (Alliance pour la République) est le premier président de l’histoire politique du Sénégal à ne faire qu’un seul mandat", a dit Idrissa Seck arrivé après 21 heures à la Promenade des Thiessois où s’est tenu son meeting d’ouverture de la campagne pour l’élection présidentielle du 24 février.
Idrissa Seck visiblement revigoré par la haie d’honneur qui l’a accueilli sur l’avenue Caen sur plus de deux kilomètres ralentissant sa progression vers le lieu du rassemblement où l’attendaient aussi une foule nombreuse et ses alliés politiques, a salué la "mobilisation exceptionnelle".
"J’ai vu des enseignants, des étudiants, des femmes, des personnes du troisième âge marcher et ils ont tous marché au cri de ‘nous en avons assez du régime actuel", a-t-il lancé du haut de son véhicule, empêché par la foule compacte d’accéder à la tribune érigée pour l’occasion.
"Ce sera aussi le premier président de l’histoire politique du Sénégal à être battu dès le premier tour", a ajouté l’ancien Premier ministre et ex. maire de la ville de Thiès.
"C’est ce que les jeunes, les femmes et les anciens m’ont dit tout au long de la caravane qui nous a conduits à cette Promenade des Thiessois", a lancé l’homme politique.
Pour Idrissa Seck, les "plans" des tenants du pouvoir qui ont consisté à éliminer leurs adversaires politiques comme Khalifa Sall, Karim Wade, ainsi que les autres à travers le filtre du parrainage n’ont servi à rien.
"Ils auraient pu nous emprisonner tous, nous éliminer tous par des manigances de parrainage, mais s’il en restait un seul, il le battrait parce que, le peuple veut s’opposer à la poursuite de sept ans de souffrance" estime t-il.
"Ce qui fait qu’ils n’échapperont pas, c’est qu’ils n’ont pas affaire aux hommes politiques, mais au peuple sénégalais auquel ils ont fait du tort" a fait noter le candidat de "Idy 2019".
"Il (Macky Sall) n’a pas compris (…) qu’être président du Sénégal exige de la hauteur, de la sagesse, de la mansuétude, de la bonté envers les populations. On ne dirige pas un peuple comme le Sénégal par la force et le ‘gnangal’ (renfrognement)", a-t-il dit.
Pour Idrissa Seck, "la culture, la générosité et la capacité de pardonner sont autant de valeurs nécessaires pour prétendre à diriger le Sénégal".
Le leader de "Idy 2019" estime que le président sortant, "en attaquant l’ancien président Abdoulaye Wade qui lui a tout donné n’a pas compris que le Sénégalais ne tolère pas qu’on touche à ses symboles".
"En agressant judiciairement ses adversaires, il n’a pas compris que le peuple sénégalais ne tolère pas l’injustice" analyse t-il.
"En mettant à genoux notre système éducatif, notre système de santé. En accaparant l’économie du pays au service de sa dynastie Faye-Sall, il n’a pas compris que le peuple sénégalais ne tolère pas que le dirigeant s’occupe de lui-même plus que des préoccupations des populations", a-t-il poursuivi.
"L’attribution de l’économie du pays aux étrangers et le degré d’endettement du pays sont aussi des injustices" qui motivent le rejet par les populations du pouvoir actuel, a soutenu l’ancien Premier ministre.
Qui fait remarquer : "pour toutes ces raisons, j’ai cru (à vos assurances) en cours de route, d’une victoire au premier tour".
"La première économie budgétaire que nous devons faire au Sénégal c’est d’éviter de gaspiller son argent pour l’organisation d’un deuxième tour, parce que le peuple peut résoudre le problème dès le 24 février", a ajouté le candidat Idrissa Seck.
Il a assuré aux Thiessois que son "premier gros projet" après son élection sera la "reconstitution de la ligne Dakar-Bamako".
aps