Au hangar des pèlerins où sont suivis les malades souffrant d’insuffisance rénale, plus aucune machine ne fonctionne. Toutes les machines de dialyse sont tombées en panne, à la suite d’une coupure d’électricité.
« On souffre du matin au soir. Sans la dialyse, on ne peut pas vivre. C’est presque la clef de notre vie. Depuis 6 heures du matin, je suis là. Chaque jour, je suis là. J’ai aussi l’insuffisance cardiaque », a témoigné une mère d’une cinquantaine d’années au micro de la RFM.
Une autre malade, nommée Mme Touré a été témoin des événements lors de la coupure d’électricité. « Le courant a sauté, et un moment les infirmiers sont sortis de la salle en vitesse. Jusqu’à 8H00 rien ne fonctionnait ».
On apprend que les techniciens sont sur place pour réparer les 22 machines des dialysés. En attendant, c’est le désarroi total.
dakarmatin
« On souffre du matin au soir. Sans la dialyse, on ne peut pas vivre. C’est presque la clef de notre vie. Depuis 6 heures du matin, je suis là. Chaque jour, je suis là. J’ai aussi l’insuffisance cardiaque », a témoigné une mère d’une cinquantaine d’années au micro de la RFM.
Une autre malade, nommée Mme Touré a été témoin des événements lors de la coupure d’électricité. « Le courant a sauté, et un moment les infirmiers sont sortis de la salle en vitesse. Jusqu’à 8H00 rien ne fonctionnait ».
On apprend que les techniciens sont sur place pour réparer les 22 machines des dialysés. En attendant, c’est le désarroi total.
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