voici feu Farba Alassane
Des rares discussions, en tête à tête, entre "Mon grand" ou "Le grand", je ne me rappelle plus exactement, à cause du choc de l'annonce de son décès que je ressentirai pour longtemps encore"- Oui, Farba Le surnommait affectueusement ainsi, "Mon grand" ou "Le grand", par respect et grande considération à ma modeste personne- Disais-je, des rares discussions entre feu Farba Alassane Sy et moi, je ne retiens que deux actes forts et qui, à mes yeux, pèsent lourds sur la balance par leur sens.
La première fois, il m'a montré les photos d'anniversaire d'un de ses trésors; son enfant.
Des images qu'il a immortalisées et jalousement conservées dans un coin de son téléphone portable.
Loin des regards indiscrets!
Affaire de Papa poule. N'est-ce pas ? Ça, c'est du "Farba".
Et, c'est aussi la marque des joyeux pères de famille du paradis de Dieu. "Aldiana" !
La seconde fois, encore et toujours, la petite et merveilleuse famille heureuse. Farba et ses enfants. Cette fois-ci, ce sont les captures des moments inoubliables qu'il a vécus, lors de vacances toujours bien planifiées, avec ses deux rejetons (une fille et un garçon), quelque part dans un lieu paradisiaque de la Gambie.
Ah oui..., un père de famille qui aimait faire plaisir à ses enfants..., à sa maman, à ses proches. Ça, c'est bien du "Farba Alassane".
"Fonk jabot", Beug doome, comme on dit.
D'ailleurs, c'est le témoignage unanimement concordant depuis l'annonce de sa mort subite; à la fleur de l'âge, ce lundi 31, dernier jour du mois de Mai 2016, aussi le dernier de Farba Alassane Sy sur terre.
"Ndeysaan, Farba... Kou dofoone thi doome" ! Des pleurs s'en suivent toujours.
Mieux, il était passionné de son boulot de journaliste-communicant. Du défunt quotidien "Kotch" à la direction Communication de l'Artp en passant par le ministère de la communication et le magazine "Nouvel Horizon", Farba a été toujours un infatigable travailleur, qui croît à des valeurs.
Un garçon à la politesse légendaire qui ne se mêle jamais des affaires des autres. En tout cas, c'est ce que je connais de défunt durant nos courtes semaines de cohabitation professionnelle.
Farba, une référence..., un modéle du respect de soi, du respect d'autrui. Hélas, il aura vécu sa vie comme une bougie dans le vent.
Nouvellement recruté par l'Artp, il y a juste six mois, le premier agent de cette boîte avec qui votre serviteur s'est entretenu, et exclusivement boulot, c'est Farba Alassane Sy.
En un mot, il a mis généreusement à ma disposition la clé, sa clé à lui, Le pour faciliter mon intégration à la Direction Communication de l'Artp. Je me suis toujours appuyé sur lui, sur les documents écrits et électroniques, qu'il avait gracieusement mis à ma disposition, pour réussir mes premières cartouches à l'Artp.
Farba, je t'en serai toujours reconnaissant.
Merci, mille fois !
Et, vous savez quoi, ce jour-là, je me suis vite rendu compte que j'avais en face de moi, certes un frère cadet dans le métier, mais un jeune qui a pu capitaliser beaucoup d'expériences professionnelles en journalisme et communication grace notamment à sa compétence et son dévouement au travail bien fait.
Et c'est pas tout, il en voulait encore. Toujours prouver qu'il fait partie des meilleurs; de la crème.
On le sentait dans les actes qu'il posés, ses paroles, ses récits, ses rappels de souvenirs, son calme olympien,... En somme, sa sagesse. Et ce, malgré son jeune âge. Que 33 hivernages.Hélas, il est parti vraiment jeune.
33 ans, c'est peu ! Oui, une si courte existence certes, mais une vie bien remplie par cet ancien enfant de troupe, formé à bonnes écoles, entre Dakar-Bango à Saint-Louis du Sénégal et la France.
Farba, le Papa poule modéle est parti, laissant derrière lui, un personnel de l'Artp orphelin, meurtri, qui souffre encore et qui ne cessera jamais de souffrir de la disparition tragique de l'un de ses dignes et valeureux employés..., Non..., j'allais même dire, un de ses dignes serviteurs.
Que Dieu guide surtout les pas de vos enfants qui, à coup sûr, vont souffrir de ta longue absence..., d ton long voyage au ciel...pour répondre à l'appel urgent de Dieu, le Tout Puissant, le Miséricordieux... certainement pour une autre mission....d'autres missions, mais ailleurs !
Repose en paix Farba Alassane Sy !
La première fois, il m'a montré les photos d'anniversaire d'un de ses trésors; son enfant.
Des images qu'il a immortalisées et jalousement conservées dans un coin de son téléphone portable.
Loin des regards indiscrets!
Affaire de Papa poule. N'est-ce pas ? Ça, c'est du "Farba".
Et, c'est aussi la marque des joyeux pères de famille du paradis de Dieu. "Aldiana" !
La seconde fois, encore et toujours, la petite et merveilleuse famille heureuse. Farba et ses enfants. Cette fois-ci, ce sont les captures des moments inoubliables qu'il a vécus, lors de vacances toujours bien planifiées, avec ses deux rejetons (une fille et un garçon), quelque part dans un lieu paradisiaque de la Gambie.
Ah oui..., un père de famille qui aimait faire plaisir à ses enfants..., à sa maman, à ses proches. Ça, c'est bien du "Farba Alassane".
"Fonk jabot", Beug doome, comme on dit.
D'ailleurs, c'est le témoignage unanimement concordant depuis l'annonce de sa mort subite; à la fleur de l'âge, ce lundi 31, dernier jour du mois de Mai 2016, aussi le dernier de Farba Alassane Sy sur terre.
"Ndeysaan, Farba... Kou dofoone thi doome" ! Des pleurs s'en suivent toujours.
Mieux, il était passionné de son boulot de journaliste-communicant. Du défunt quotidien "Kotch" à la direction Communication de l'Artp en passant par le ministère de la communication et le magazine "Nouvel Horizon", Farba a été toujours un infatigable travailleur, qui croît à des valeurs.
Un garçon à la politesse légendaire qui ne se mêle jamais des affaires des autres. En tout cas, c'est ce que je connais de défunt durant nos courtes semaines de cohabitation professionnelle.
Farba, une référence..., un modéle du respect de soi, du respect d'autrui. Hélas, il aura vécu sa vie comme une bougie dans le vent.
Nouvellement recruté par l'Artp, il y a juste six mois, le premier agent de cette boîte avec qui votre serviteur s'est entretenu, et exclusivement boulot, c'est Farba Alassane Sy.
En un mot, il a mis généreusement à ma disposition la clé, sa clé à lui, Le pour faciliter mon intégration à la Direction Communication de l'Artp. Je me suis toujours appuyé sur lui, sur les documents écrits et électroniques, qu'il avait gracieusement mis à ma disposition, pour réussir mes premières cartouches à l'Artp.
Farba, je t'en serai toujours reconnaissant.
Merci, mille fois !
Et, vous savez quoi, ce jour-là, je me suis vite rendu compte que j'avais en face de moi, certes un frère cadet dans le métier, mais un jeune qui a pu capitaliser beaucoup d'expériences professionnelles en journalisme et communication grace notamment à sa compétence et son dévouement au travail bien fait.
Et c'est pas tout, il en voulait encore. Toujours prouver qu'il fait partie des meilleurs; de la crème.
On le sentait dans les actes qu'il posés, ses paroles, ses récits, ses rappels de souvenirs, son calme olympien,... En somme, sa sagesse. Et ce, malgré son jeune âge. Que 33 hivernages.Hélas, il est parti vraiment jeune.
33 ans, c'est peu ! Oui, une si courte existence certes, mais une vie bien remplie par cet ancien enfant de troupe, formé à bonnes écoles, entre Dakar-Bango à Saint-Louis du Sénégal et la France.
Farba, le Papa poule modéle est parti, laissant derrière lui, un personnel de l'Artp orphelin, meurtri, qui souffre encore et qui ne cessera jamais de souffrir de la disparition tragique de l'un de ses dignes et valeureux employés..., Non..., j'allais même dire, un de ses dignes serviteurs.
Que Dieu guide surtout les pas de vos enfants qui, à coup sûr, vont souffrir de ta longue absence..., d ton long voyage au ciel...pour répondre à l'appel urgent de Dieu, le Tout Puissant, le Miséricordieux... certainement pour une autre mission....d'autres missions, mais ailleurs !
Repose en paix Farba Alassane Sy !
Notre confrère Boubacar Kambel Dieng auteur du témoignage sur feu Farba Alassane Sy