La mission était en Guinée-Bissau pour finaliser un projet d’accord sur l’organisation des élections de 2025. Cependant, selon le document officiel, elle a dû quitter le pays dans l’urgence et dans des conditions tendues après que le chef de l’État a menacé de les expulser.
Le 23 février 2025, alors que la délégation était encore présente, Embaló a unilatéralement fixé la présidentielle au 30 novembre 2025 et a affirmé son intention de rester au pouvoir jusqu’à l’investiture de son successeur. Cette décision contredit l’opposition, qui considère qu’il n’est plus légitime à partir du 27 février 2025, date correspondant à l'anniversaire de son investiture
Face à cette situation tendue, la CEDEAO a appelé à la retenue, exhortant toutes les parties prenantes et les citoyens à maintenir le calme, la paix et la stabilité du pays.
Igfm
Le 23 février 2025, alors que la délégation était encore présente, Embaló a unilatéralement fixé la présidentielle au 30 novembre 2025 et a affirmé son intention de rester au pouvoir jusqu’à l’investiture de son successeur. Cette décision contredit l’opposition, qui considère qu’il n’est plus légitime à partir du 27 février 2025, date correspondant à l'anniversaire de son investiture
Face à cette situation tendue, la CEDEAO a appelé à la retenue, exhortant toutes les parties prenantes et les citoyens à maintenir le calme, la paix et la stabilité du pays.
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