En effet, les agents ayant appris par la presse que le syndicat les engageait dans une grève pour soutenir le président du parti politique Pastef, se sont braqués et n’ont pas manqué de le faire savoir. Résultat des courses, tous les services de la DGID avaient clairement indiqué qu’ils allaient travailler le jour J.
Voulant éviter une déconvenue syndicale née des profondes divisions sur l’orientation prise, le bureau du syndicat a tout simplement renoncé à son mot d’ordre de grève, prétextant d’une médiation que l’intéressé Sonko a toujours refusée. La ligne rouge a été franchie lorsque les membres ont appris qu’un préavis de grève générale a été déposé la semaine dernière auprès du ministre la fonction publique et que le syndicat s’est allié à des partis politiques, à des organisations comme le mouvement y en a marre, le mouvement « Tout va mal », …
La division est tellement profonde qu’au sein même du bureau du syndicat on ne parle plus le même langage. L’un d’eux nous a dit au téléphone que le SAID veut mener les agents vers une issue incertaine, loin des préoccupations des agents.
Voulant éviter une déconvenue syndicale née des profondes divisions sur l’orientation prise, le bureau du syndicat a tout simplement renoncé à son mot d’ordre de grève, prétextant d’une médiation que l’intéressé Sonko a toujours refusée. La ligne rouge a été franchie lorsque les membres ont appris qu’un préavis de grève générale a été déposé la semaine dernière auprès du ministre la fonction publique et que le syndicat s’est allié à des partis politiques, à des organisations comme le mouvement y en a marre, le mouvement « Tout va mal », …
La division est tellement profonde qu’au sein même du bureau du syndicat on ne parle plus le même langage. L’un d’eux nous a dit au téléphone que le SAID veut mener les agents vers une issue incertaine, loin des préoccupations des agents.