Avec l'escalade notée ces derniers jours sur les relations entre la Gambie et le Sénégal,le pire est à craindre.
Le blocus noté récemment à la frontière suite à la décision unilatérale de Banjul d'imposer un tarif exorbitant n'est qu'un énième acte posé. Avant cela,on avait noté une certaine escalade verbale avec le refus de Banjul d'extrader Baye Modou Fall alias Modou Jinné vers Dakar et cela est motivé, selon certaines indiscrétions proches du pouvoir Gambien, "par le fait que Dakar ouvrait ses portes aux opposants de Yaya Jammeh et refusait systématiquement toute demande d'extradition venant des autorités Gambiennes .Sans compter la présence de Banjul pour tout règlement de la crise casamançaise dans laquelle Yaya Diammeh jouerait un rôle plus qu'important".
Poursuivant, notre interlocuteur de renchérir: "et, dans ce jeu de yo yo,aucune des autorités n'est sorti de son mutisme pour essayer de gérer cette dernière affaire qui oblige les voyageurs sénégalais à emprunter la voie de contournement qui est un vrai calvaire pour ne pas dire un parcours du combattant".
C'est sur ces entrefaites qu'une source proche de "l'homme fort de Kanilaï" approché par nos soins nous fait part de la diffusion prochaine d'un documentaire dans lequel les Sénégalais sauront les vraies responsabilités de l’État sur le naufrage du bateau "le Joola". Selon toujours cette même source qui était de passage à Dakar,lors du naufrage du Joola dans la nuit du 26 septembre 2002 aux larges des cotes gambiennes,les hommes du " The Gambia Fire and Rescue Services" étaient les premiers à arriver sur place et ont attendu plusieurs heures avant de voir pointer un pavillon Sénégalais. Et pourtant continue notre source,la base marine d'Elinkine était toute proche et pouvait envoyer des unités capables de réduire l'important nombre des morts lors de ce drame.
A notre question de savoir pourquoi avoir attendu tout ce temps pour publier cette vidéo,notre interlocuteur de nous répondre en ces termes," nous ne voulions pas gêner le pouvoir Sénégalais mais, maintenant que tout espoir de renflouage du navire est perdu,les familles ont le droit de savoir". Et notre vis-à-vis de nous renvoyer au décret n° 2003-848 du 27 octobre 2003 portant nomination dans l'Ordre du mérite à titre étranger qui a honoré quelques marins Gambiens comme Gibril Nying, Directeur Pêche et Océans,Khalifa Beyal, officier des transports,Sillah Keyati, lieutenant, Commandant de Marine,Mamadou B. Ceessay, capitaine, Remorqueur Bâtiment juffureh, Alfousseyni Saidy, capitaine Bâtiment juffureh,Kebba Fall, Chef mécanicien bâtiment Juffureh.
Notre source d'ajouter que l'Etat Senegalais a tout fait pour que Banjul ne diffuse pas cette vidéo comme ce fut le cas lors des opérations de secours quand l'ancien ministre sénégalais Aly Aïdar qui faisait partie des premiers plongeurs sur place et qui avait filmé tous les détails dans le bateau. Lequel, se verra, dès sa remontée, se voir confisquer sa caméra et son contenu par les agents des services de renseignements Sénégalais.
A partir de sa tablette,notre interlocuteur qui semble être très proche de Jammeh, nous a donné un aperçu de ce que sera ce documentaire qui risque de réveiller de mauvais souvenirs et de graves manquements. Nous avons beau tenté de lui chiper le contenu, mais en vain. Cet individu, assez mystérieux à l'image de "l'homme fort de Kanilai" , s'éclipsera vite dans la nuit étoilée de Dakar. Il se perdra dans les cloaques de la banlieue dakaroise.
C'est dire...
Le blocus noté récemment à la frontière suite à la décision unilatérale de Banjul d'imposer un tarif exorbitant n'est qu'un énième acte posé. Avant cela,on avait noté une certaine escalade verbale avec le refus de Banjul d'extrader Baye Modou Fall alias Modou Jinné vers Dakar et cela est motivé, selon certaines indiscrétions proches du pouvoir Gambien, "par le fait que Dakar ouvrait ses portes aux opposants de Yaya Jammeh et refusait systématiquement toute demande d'extradition venant des autorités Gambiennes .Sans compter la présence de Banjul pour tout règlement de la crise casamançaise dans laquelle Yaya Diammeh jouerait un rôle plus qu'important".
Poursuivant, notre interlocuteur de renchérir: "et, dans ce jeu de yo yo,aucune des autorités n'est sorti de son mutisme pour essayer de gérer cette dernière affaire qui oblige les voyageurs sénégalais à emprunter la voie de contournement qui est un vrai calvaire pour ne pas dire un parcours du combattant".
C'est sur ces entrefaites qu'une source proche de "l'homme fort de Kanilaï" approché par nos soins nous fait part de la diffusion prochaine d'un documentaire dans lequel les Sénégalais sauront les vraies responsabilités de l’État sur le naufrage du bateau "le Joola". Selon toujours cette même source qui était de passage à Dakar,lors du naufrage du Joola dans la nuit du 26 septembre 2002 aux larges des cotes gambiennes,les hommes du " The Gambia Fire and Rescue Services" étaient les premiers à arriver sur place et ont attendu plusieurs heures avant de voir pointer un pavillon Sénégalais. Et pourtant continue notre source,la base marine d'Elinkine était toute proche et pouvait envoyer des unités capables de réduire l'important nombre des morts lors de ce drame.
A notre question de savoir pourquoi avoir attendu tout ce temps pour publier cette vidéo,notre interlocuteur de nous répondre en ces termes," nous ne voulions pas gêner le pouvoir Sénégalais mais, maintenant que tout espoir de renflouage du navire est perdu,les familles ont le droit de savoir". Et notre vis-à-vis de nous renvoyer au décret n° 2003-848 du 27 octobre 2003 portant nomination dans l'Ordre du mérite à titre étranger qui a honoré quelques marins Gambiens comme Gibril Nying, Directeur Pêche et Océans,Khalifa Beyal, officier des transports,Sillah Keyati, lieutenant, Commandant de Marine,Mamadou B. Ceessay, capitaine, Remorqueur Bâtiment juffureh, Alfousseyni Saidy, capitaine Bâtiment juffureh,Kebba Fall, Chef mécanicien bâtiment Juffureh.
Notre source d'ajouter que l'Etat Senegalais a tout fait pour que Banjul ne diffuse pas cette vidéo comme ce fut le cas lors des opérations de secours quand l'ancien ministre sénégalais Aly Aïdar qui faisait partie des premiers plongeurs sur place et qui avait filmé tous les détails dans le bateau. Lequel, se verra, dès sa remontée, se voir confisquer sa caméra et son contenu par les agents des services de renseignements Sénégalais.
A partir de sa tablette,notre interlocuteur qui semble être très proche de Jammeh, nous a donné un aperçu de ce que sera ce documentaire qui risque de réveiller de mauvais souvenirs et de graves manquements. Nous avons beau tenté de lui chiper le contenu, mais en vain. Cet individu, assez mystérieux à l'image de "l'homme fort de Kanilai" , s'éclipsera vite dans la nuit étoilée de Dakar. Il se perdra dans les cloaques de la banlieue dakaroise.
C'est dire...