Le différend entre Malick Gackou et Bouna Mohamed Seck finira bel et bien devant le tribunal. Le leader du Grand parti a décidé de poursuivre l’action judiciaire, en confirmant sa plainte, après la sommation interpellative servie à son ancien camarade à l’AFP, par ailleurs, directeur de cabinet de Moustapha Niasse à l’assemblée nationale. Avec cette plainte, Gakou souligne que Bouna Mohamed Seck qui « a fui ses responsabilités » devant la « justice divine », sera obligé de les assumer devant la justice des hommes.
« J’avais donné 72 heures à Bouna Seck pour apporter la moindre preuve de ses allégations concernant le financement de mes activités politiques par des lobbies. Je l’avais interpellé devant Dieu et son prophète (Psl), puisqu’il annonce à chaque occasion et en bandoulière sa foi musulmane, de ne pas mentir car un musulman ne doit pas mentir.
Bien évidemment à l’expiration du délai, il me sert du verbiage et de la pédagogie. Comme devant la justice divine il fuit ses responsabilités, J’ai instruit mon avocat Serigne Khassimou Touré de confirmer ma plainte contre lui. Ce faisant, il sera obligé de dire la vérité, rien que la vérité en apportant la preuve de ses allégations et il ne pourra pas se dérober à la mexicaine.
Et cette fois ci, croyez-moi, ce ne sera pas comme dans l’affaire des 6 milliards de la Sonacos », a écrit Malick Gackou.
« J’avais donné 72 heures à Bouna Seck pour apporter la moindre preuve de ses allégations concernant le financement de mes activités politiques par des lobbies. Je l’avais interpellé devant Dieu et son prophète (Psl), puisqu’il annonce à chaque occasion et en bandoulière sa foi musulmane, de ne pas mentir car un musulman ne doit pas mentir.
Bien évidemment à l’expiration du délai, il me sert du verbiage et de la pédagogie. Comme devant la justice divine il fuit ses responsabilités, J’ai instruit mon avocat Serigne Khassimou Touré de confirmer ma plainte contre lui. Ce faisant, il sera obligé de dire la vérité, rien que la vérité en apportant la preuve de ses allégations et il ne pourra pas se dérober à la mexicaine.
Et cette fois ci, croyez-moi, ce ne sera pas comme dans l’affaire des 6 milliards de la Sonacos », a écrit Malick Gackou.