La Cour des Comptes a relevé aussi des conflits d’intérêts et entorses au Code des marchés avant de réclamer l’ouverture d’une information judiciaire contre au moins dix responsables. Tout d’abord, il faut savoir que le Ministère de la Santé avait viré des fonds Covid de 150 millions FCFA dans le compte du Ministère de la Femme ouvert au Crédit Sénégal.
Dans le rapport, les Vérificateurs ont constaté que certains pièces d’identités sont identiques à celles utilisées pour justifier les dépenses effectuées avec les ressources de la caisse d’avance « aide et secours. »
Ces documents ont occasionnés un préjudice de plus de 36 millions FCFA. Mais selon le DAGE, ces documents seraient consécutifs à une « erreur de reporting qui s’explique par les multiples pressions liées à l’exécution diligente du plan de riposte contre la Covid. »
La Cour a aussi établi que les justificatifs de dépenses transmis par la DAGE, lors de la phase de contradiction, pour justifier le double emploi de pièces justificatives, ont été utilisés pour justifier d’autres dépenses.
En effet, les mêmes pièces justificatives sont jointes aux copies de chèques de montants égaux à ceux des décharges établies au nom des mêmes personnes.
Plus grave, des personnes ayant les mêmes prénoms et noms de famille avec des numéros de carte d’identité identiques et parfois les mêmes adresses, ont bénéficié plusieurs fois des « aides et secours » avec des montants différents.
La Cour a aussi relevé que des agents du ministère de la Famille ont bénéficié d’aides et secours d’un montant total de plus de 22 millions FCFA . Le DAGE explique l’octroi de ces fonds étaient destinés au financement des opérations de retraits des enfants dans la rue.
Dans le rapport, les Vérificateurs ont constaté que certains pièces d’identités sont identiques à celles utilisées pour justifier les dépenses effectuées avec les ressources de la caisse d’avance « aide et secours. »
Ces documents ont occasionnés un préjudice de plus de 36 millions FCFA. Mais selon le DAGE, ces documents seraient consécutifs à une « erreur de reporting qui s’explique par les multiples pressions liées à l’exécution diligente du plan de riposte contre la Covid. »
La Cour a aussi établi que les justificatifs de dépenses transmis par la DAGE, lors de la phase de contradiction, pour justifier le double emploi de pièces justificatives, ont été utilisés pour justifier d’autres dépenses.
En effet, les mêmes pièces justificatives sont jointes aux copies de chèques de montants égaux à ceux des décharges établies au nom des mêmes personnes.
Plus grave, des personnes ayant les mêmes prénoms et noms de famille avec des numéros de carte d’identité identiques et parfois les mêmes adresses, ont bénéficié plusieurs fois des « aides et secours » avec des montants différents.
La Cour a aussi relevé que des agents du ministère de la Famille ont bénéficié d’aides et secours d’un montant total de plus de 22 millions FCFA . Le DAGE explique l’octroi de ces fonds étaient destinés au financement des opérations de retraits des enfants dans la rue.