Pour ceux qui n'ont pas suivi les péripéties de ce bras de fer, ce procès fait suite à la destruction des implantations de panneaux publicitaires par les régies, réunies au sein d’un collectif qui compte 22 membres. Lesquels, ont fini par traduire en justice l’édile de Mermoz-Sacré-Cœur Barthélémy Dias.
Les faits qui lui sont reprochés se sont déroulés la nuit du 30 au 31 mai. Le premier magistrat de cette commune, après avoir sommé les propriétaires des panneaux publicitaires de se mettre en règle avec la mairie qu’il dirige, a décidé de mettre sa menace, qui d’enlever leur panneaux, en exécution.
Les propriétaires des agences de publicité l’accusent de destruction de biens appartenant à autrui etc., et lui réclament, en guise de dommage, 700 millions de CFA répartis comme suit : 500 millions de FCFA pour la destruction de leur bien et 200 millions pour atteinte à leur image. Rendez-vous est donc pris pour le mardi 28 juillet. Mais, le procès risque d'être ajourné.
Les faits qui lui sont reprochés se sont déroulés la nuit du 30 au 31 mai. Le premier magistrat de cette commune, après avoir sommé les propriétaires des panneaux publicitaires de se mettre en règle avec la mairie qu’il dirige, a décidé de mettre sa menace, qui d’enlever leur panneaux, en exécution.
Les propriétaires des agences de publicité l’accusent de destruction de biens appartenant à autrui etc., et lui réclament, en guise de dommage, 700 millions de CFA répartis comme suit : 500 millions de FCFA pour la destruction de leur bien et 200 millions pour atteinte à leur image. Rendez-vous est donc pris pour le mardi 28 juillet. Mais, le procès risque d'être ajourné.