Fidak- Le coup de gueule des exposants
Des exposants ont dénoncé l'augmentation des prix des stands qui ont connu une hausse d'environ 100.000 FCfa. Ils sont passés de 600.000 FCfa à 700.000 FCfa cette année, y compris les frais d'assurance.
Le Centre international du commerce extérieur du Sénégal (Cices) abritant la 25e édition de la Fidak commence à accueillir du monde. Les visiteurs envahissent petit à petit les stands, soit pour faire des achats soit pour prendre les contacts des exposants. Ces derniers se plaignant de la hausse des prix des stands.
En pleine discussion avec des clients, Touty Seck informe que les stands ont connu, cette année, une hausse de presque 100.000 FCfa. « En 2015, nous avions loué la même surface à 600.000 FCfa. Cette année, nous avons payé presque 700.000 FCfa, y compris les frais d'assurance », fait remarquer Mme Seck. Cette hausse a été également constatée par le commerçant Moustapha Touré. Il soutient avoir déboursé 655.000 FCfa pour disposer d'un stand et 27.000 FCfa pour l'assurance et d'autres frais.
« Le tout m'est revenu à presque 700.000 FCfa. C'est cher », dénonce-t-il. Ce vendeur d'habits au marché Sandaga, qui a déménagé au Cices le temps de la foire, veut des explications par rapport à cette hausse des prix. « Chaque année, nous constatons une hausse des prix sur les stands. Même les tickets d'entrée sont vendus à 700 FCfa alors que l'année dernière, ils s'échangeaient à 600 FCfa, soit une hausse de 100 FCfa », s'étonne-t-il. Non loin de là, le commerçant Dame Sèye marchande ses vêtements avec un jeune couple. Cet homme de teint noir déplore aussi la hausse des prix des stands et le retard dans le démarrage des activités. « C'est un manque à gagner énorme pour nous. Nous payons cher les stands et nous restons trois jours sans démarrer nos activités », regrette-t-il.
Abondant dans le même sens, Pape Ndour, qui a fini de s'installer dans un stand, exactement sur une superficie de 1,5 mètre carré, salue tout de même l'amélioration notée dans l'organisation de la foire de cette année, comparée aux années précédentes. Par contre, la vendeuse Touty Seck invite les responsables de la Fidak à prendre davantage de dispositions adéquates pour permettre aux commerçants de démarrer leurs activités dès l'ouverture de la foire.
Le Centre international du commerce extérieur du Sénégal (Cices) abritant la 25e édition de la Fidak commence à accueillir du monde. Les visiteurs envahissent petit à petit les stands, soit pour faire des achats soit pour prendre les contacts des exposants. Ces derniers se plaignant de la hausse des prix des stands.
En pleine discussion avec des clients, Touty Seck informe que les stands ont connu, cette année, une hausse de presque 100.000 FCfa. « En 2015, nous avions loué la même surface à 600.000 FCfa. Cette année, nous avons payé presque 700.000 FCfa, y compris les frais d'assurance », fait remarquer Mme Seck. Cette hausse a été également constatée par le commerçant Moustapha Touré. Il soutient avoir déboursé 655.000 FCfa pour disposer d'un stand et 27.000 FCfa pour l'assurance et d'autres frais.
« Le tout m'est revenu à presque 700.000 FCfa. C'est cher », dénonce-t-il. Ce vendeur d'habits au marché Sandaga, qui a déménagé au Cices le temps de la foire, veut des explications par rapport à cette hausse des prix. « Chaque année, nous constatons une hausse des prix sur les stands. Même les tickets d'entrée sont vendus à 700 FCfa alors que l'année dernière, ils s'échangeaient à 600 FCfa, soit une hausse de 100 FCfa », s'étonne-t-il. Non loin de là, le commerçant Dame Sèye marchande ses vêtements avec un jeune couple. Cet homme de teint noir déplore aussi la hausse des prix des stands et le retard dans le démarrage des activités. « C'est un manque à gagner énorme pour nous. Nous payons cher les stands et nous restons trois jours sans démarrer nos activités », regrette-t-il.
Abondant dans le même sens, Pape Ndour, qui a fini de s'installer dans un stand, exactement sur une superficie de 1,5 mètre carré, salue tout de même l'amélioration notée dans l'organisation de la foire de cette année, comparée aux années précédentes. Par contre, la vendeuse Touty Seck invite les responsables de la Fidak à prendre davantage de dispositions adéquates pour permettre aux commerçants de démarrer leurs activités dès l'ouverture de la foire.
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