Rien n'y fit! Le chanteur Oumar Pène, connu comme une idole des étudiants, appelé à la rescousse aux fins de calmer l'ardeur, disons plutot la détermination des étudiants à en découdre avec les forces de l'ordre. Rien n'y fit! Le chef de l'Etat a beau promit que toute la lumière sera faite sur l'affaire du meurtre de l'étudiant Bassirou Faye, assurant que le procès sera tenu en Octobre prochain et que tous ceux qui ont été mêlés à ce crime seront sanctionnés. Mais, en vain. Les étudiants ont d'abord hué le Directeur du Coud, le Dr Cheikh Oumar Hann puis leur ministre de tutelle en a prit pour son grade. A chaque fois que le nom de Mary Teuw Niane a été prononcé, il sera accueilli par des huées à n'en plus finir. Il fallait voir le ministre, apparemment à l'étroit.
Puis, paf! Comme relaté par ailleurs, les étudiants, qui ont encore une pensée pieuse pour leur défunt collègue Bassirou Faye, ont déversé leur bile sur le cortège Présidentiel. Dénoncant ce qu'ils ont appelé "les dérives policières", qui "après avoir assiégé le campus universitaire ont mis fin à la vie de Bassirou Faye" pour les reprendre, les étudiants ont poussé le bouchon trop loin en caillassant le véhicule Présidentiel. Qui a été prit pour cible alors que -soit dit en passant- cela ne fait pas partie du bons sens. Osons le dire!
En somme, si des étudiants ont agi ainsi, c'est parce que ils soupconnent, du moins accusent la police d'être impliqué dans le meurtre de feu Bassirou Faye. Des certitudes estudiantines qui font planer un climat d'angoisse au sein de ce ce temple du savoir, mais qui risque de dégénérer encore...
Puis, paf! Comme relaté par ailleurs, les étudiants, qui ont encore une pensée pieuse pour leur défunt collègue Bassirou Faye, ont déversé leur bile sur le cortège Présidentiel. Dénoncant ce qu'ils ont appelé "les dérives policières", qui "après avoir assiégé le campus universitaire ont mis fin à la vie de Bassirou Faye" pour les reprendre, les étudiants ont poussé le bouchon trop loin en caillassant le véhicule Présidentiel. Qui a été prit pour cible alors que -soit dit en passant- cela ne fait pas partie du bons sens. Osons le dire!
En somme, si des étudiants ont agi ainsi, c'est parce que ils soupconnent, du moins accusent la police d'être impliqué dans le meurtre de feu Bassirou Faye. Des certitudes estudiantines qui font planer un climat d'angoisse au sein de ce ce temple du savoir, mais qui risque de dégénérer encore...