La Presse du jour a fait état de fermeture de la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie dans le département de Podor.
Que se passe-t-il au juste. Selon certaines sources, seuls les passages non officiels sont fermés si l’on en croit à un élément de la garde mauritanienne, en service à l’un des postes frontaliers, joint au téléphone par nos confrères de Podorinfos.
En effet, selon le portail régional de la ville de Podor repris par laviesenegalaise.com, les points de passage officiels restent ouverts et les populations vaquent librement à leurs occupations, d’ailleurs, le débarcadère de Podor en est une illustration parfaite.
Les pirogues qui assurent la traversée vont et viennent et c’est le cas à Boghé, Dioudé Diéri, Wouro Aly qui sont officiellement reconnus par les deux États (Sénégal et Mauritanie).
Des points de passage comme “Ngaolé, Toufndé Diami, Saldé célèbres et très fréquentés entre autres sont interdits et cette décision entre dans le cadre de la sécurisation de la vallée car dans une frontière, l’on ne peut pas entrer et sortir comme l’on veut”, a laissé entendre M.N, en service à la frontière.
“La porosité des frontières est toujours décriée par les populations car de part et d’autre certains commettent des forfaits et vont se réfugier dans l’autre côté sans être inquiété”, argue Mamadou qui juge cette mesure pertinente. Appelant aux sénégalais de respecter les décisions des voisins mauritaniens qui eux respectent celles prises par la partie sénégalaise.
La Viesenegalaise
Que se passe-t-il au juste. Selon certaines sources, seuls les passages non officiels sont fermés si l’on en croit à un élément de la garde mauritanienne, en service à l’un des postes frontaliers, joint au téléphone par nos confrères de Podorinfos.
En effet, selon le portail régional de la ville de Podor repris par laviesenegalaise.com, les points de passage officiels restent ouverts et les populations vaquent librement à leurs occupations, d’ailleurs, le débarcadère de Podor en est une illustration parfaite.
Les pirogues qui assurent la traversée vont et viennent et c’est le cas à Boghé, Dioudé Diéri, Wouro Aly qui sont officiellement reconnus par les deux États (Sénégal et Mauritanie).
Des points de passage comme “Ngaolé, Toufndé Diami, Saldé célèbres et très fréquentés entre autres sont interdits et cette décision entre dans le cadre de la sécurisation de la vallée car dans une frontière, l’on ne peut pas entrer et sortir comme l’on veut”, a laissé entendre M.N, en service à la frontière.
“La porosité des frontières est toujours décriée par les populations car de part et d’autre certains commettent des forfaits et vont se réfugier dans l’autre côté sans être inquiété”, argue Mamadou qui juge cette mesure pertinente. Appelant aux sénégalais de respecter les décisions des voisins mauritaniens qui eux respectent celles prises par la partie sénégalaise.
La Viesenegalaise