Fatou Thiam et Abdoul Ahat Mbengue sont mariés depuis 5 ans. Ils ont trois enfants. Fatou Thiam déclare qu'elle a travaillé dur en Italie pour acquérir de l'or. Elle gère aussi un magasin d'aliments de bétail.
Selon les radars de dakarposte.com, la dame a soutenu que pour les besoins de son accouchement, elle devait se rendre en Italie. Alors elle confie la garde de sa chambre dans laquelle elle conserve ses objets de valeur, à son mari.
De retour de son voyage, elle constate la disparition de l'or. Selon elle, son mari a aussi dilapidé son magasin. Elle se retrouve avec une perte de 1 300 000 f. Elle fouille le sac au dos de son mari et y découvre une clé dupliquée de son armoire. Alors elle porte plainte contre son mari pour vol avec usage de fausses clés. A la barre du tribunal, le mari conteste les faits. L'avocat de la partie civile a tout tenté pour la requalification des faits en abus de confiance en vain. Il sait pertinemment qu'il y a une immunité entre co-épouses. La bataille était perdue d'avance. Le ministère public s'en est rapporté. Le tribunal après en avoir délibéré relaxe le prévenu des faits à lui reprochés et déboute la partie civile de sa demande réparation. Cettre dernière réclamait 20 000 000 f pour toutes causes de préjudices confondues.
Selon les radars de dakarposte.com, la dame a soutenu que pour les besoins de son accouchement, elle devait se rendre en Italie. Alors elle confie la garde de sa chambre dans laquelle elle conserve ses objets de valeur, à son mari.
De retour de son voyage, elle constate la disparition de l'or. Selon elle, son mari a aussi dilapidé son magasin. Elle se retrouve avec une perte de 1 300 000 f. Elle fouille le sac au dos de son mari et y découvre une clé dupliquée de son armoire. Alors elle porte plainte contre son mari pour vol avec usage de fausses clés. A la barre du tribunal, le mari conteste les faits. L'avocat de la partie civile a tout tenté pour la requalification des faits en abus de confiance en vain. Il sait pertinemment qu'il y a une immunité entre co-épouses. La bataille était perdue d'avance. Le ministère public s'en est rapporté. Le tribunal après en avoir délibéré relaxe le prévenu des faits à lui reprochés et déboute la partie civile de sa demande réparation. Cettre dernière réclamait 20 000 000 f pour toutes causes de préjudices confondues.