Mboolo Askanwi: Farba Senghor qui était l’invité de Rfm Matin n’a pas fait dans la dentelle, accusant Khalifa Sall et Karim Wade d’avoir commis des « erreurs de jeunesse politique ». Erreurs qui ont précipité leur descente aux enfers. Sous la bannière « Mboolo Wade », Farba Senghor a raillé le nom du Pape du Sopi en « Mboolo Askanwi ».
Khalifa Sall: pour Farba Senghor, Khalifa Sall aurait dû très tôt se déterminer à quitter le Parti socialiste pour avoir le temps de s’organiser, avoir aussi le temps de parcourir le Sénégal des profondeurs car il ne suffit pas d’être connu et de gagner Dakar et Guédiawaye pour être élu. Ensuite, selon le libéral, Khalifa Sall devait donner une caution dès le début de sa mise en branle judiciaire pour éviter le procès, car comme il dit, la plupart des personnes qui ont cautionné n’ont pas été poursuivies. Mieux, l’erreur de jeunesse politique de Khalifa Sall a été aussi d’avoir donné trop de confiance et de latitude aux avocats qui en ont profité pour avoir plus de « buzz » que l’incriminé lui-même. « Me Abdoulaye Wade nous disait toujours de poser des actes politiques en s’auto gérant, mais pas de donner tout à ses avocats », s’est-il souvenu. Concernant l’affaire de la caisse d’avance, Mr Senghor pense que Khalifa Sall ne s’est pas dédouané pour autant, avec comme seul argument qu’il était dans la mouvance de ses prédécesseurs, Mamadou et Pape Diop.
Karim Wade: à en croire Farba Senghor, Karim Wade, a comme Khalifa Sall commis des erreurs de jeunesse politique en se cloîtrant au Qatar et ne communicant que sur les réseaux sociaux dont Watshapp. « Quand on aime son pays comme on le prétend, ce n’est pas en se répandant sur les réseaux sociaux qu’on puisse se faire entendre. Il y a les médias et l’acte politique qu’il devait poser est de contacter et de dire ce qu’il pense de sa situation, de la situation politique du pays et éventuellement d’annoncer son programme s’il veut être candidat. En le faisant, il pourra soulager ses partisans qui ne savent pas sur quel pied danser, alors que son père s’obstine à vouloir faire de lui le candidat du parti démocratique sénégalais en 2019, ce qui n’est pas possible », a-t-il déclaré. Poursuivant sur les erreurs de Karim, l’ancien ministre de la solidarité estime ce dernier n’a pas montré, comme il le prétend qu’il a été persécuté, sorti de force du Sénégal alors qu’avant son départ, il a eu le temps de passer chez Madické Niang et de faire ses selfies. « Ce qui est étonnant pour quelqu’un qui a été sorti de force au Sénégal. D’ailleurs, l’avion avait un plan de vol pour Paris, c’est de son propre chef qu’il a atterri au Qatar et Karim Wade en connaît les raisons. Il ne montre aucunement qu’il a envie de se battre. Personne ne l’a exilé, il s’est exilé de lui-même. Pourquoi il n’a pas mis les pieds pour rendre visite à ses enfants, pourquoi il ne vient pas au Sénégal », s’interroge Farba qui affirme que Karim doit négocier avec Macky Sall.
Candidature présidentielle: Farba Senghor avoue qu’il ne peut être candidat à la présidentielle de 2019 d’autant que les législatives se sont mal déroulées avec un pourcentage catastrophique. « Il faut aussi avoir des moyens financiers et une bonne organisation alors que je ne suis pas dans ses dispositions. Je suis dans mon coin et j’attends de venir voir. Je suis libéral et il ya deux camps, celui d’Idrissa Seck et celui du Pds, alors que moi j’ai laissé le pds et Karim Wade. Même si son père a dit que je peux revenir, j’ai tourné la page. Maintenant, Macky Sall lui-même m’a appelé pour qu’on discute entre libéraux. je suis dans une entité et je lui dirai ma décision, une fois que j’aurai pris langue avec mes proches », a-t-il dit.
Khalifa Sall: pour Farba Senghor, Khalifa Sall aurait dû très tôt se déterminer à quitter le Parti socialiste pour avoir le temps de s’organiser, avoir aussi le temps de parcourir le Sénégal des profondeurs car il ne suffit pas d’être connu et de gagner Dakar et Guédiawaye pour être élu. Ensuite, selon le libéral, Khalifa Sall devait donner une caution dès le début de sa mise en branle judiciaire pour éviter le procès, car comme il dit, la plupart des personnes qui ont cautionné n’ont pas été poursuivies. Mieux, l’erreur de jeunesse politique de Khalifa Sall a été aussi d’avoir donné trop de confiance et de latitude aux avocats qui en ont profité pour avoir plus de « buzz » que l’incriminé lui-même. « Me Abdoulaye Wade nous disait toujours de poser des actes politiques en s’auto gérant, mais pas de donner tout à ses avocats », s’est-il souvenu. Concernant l’affaire de la caisse d’avance, Mr Senghor pense que Khalifa Sall ne s’est pas dédouané pour autant, avec comme seul argument qu’il était dans la mouvance de ses prédécesseurs, Mamadou et Pape Diop.
Karim Wade: à en croire Farba Senghor, Karim Wade, a comme Khalifa Sall commis des erreurs de jeunesse politique en se cloîtrant au Qatar et ne communicant que sur les réseaux sociaux dont Watshapp. « Quand on aime son pays comme on le prétend, ce n’est pas en se répandant sur les réseaux sociaux qu’on puisse se faire entendre. Il y a les médias et l’acte politique qu’il devait poser est de contacter et de dire ce qu’il pense de sa situation, de la situation politique du pays et éventuellement d’annoncer son programme s’il veut être candidat. En le faisant, il pourra soulager ses partisans qui ne savent pas sur quel pied danser, alors que son père s’obstine à vouloir faire de lui le candidat du parti démocratique sénégalais en 2019, ce qui n’est pas possible », a-t-il déclaré. Poursuivant sur les erreurs de Karim, l’ancien ministre de la solidarité estime ce dernier n’a pas montré, comme il le prétend qu’il a été persécuté, sorti de force du Sénégal alors qu’avant son départ, il a eu le temps de passer chez Madické Niang et de faire ses selfies. « Ce qui est étonnant pour quelqu’un qui a été sorti de force au Sénégal. D’ailleurs, l’avion avait un plan de vol pour Paris, c’est de son propre chef qu’il a atterri au Qatar et Karim Wade en connaît les raisons. Il ne montre aucunement qu’il a envie de se battre. Personne ne l’a exilé, il s’est exilé de lui-même. Pourquoi il n’a pas mis les pieds pour rendre visite à ses enfants, pourquoi il ne vient pas au Sénégal », s’interroge Farba qui affirme que Karim doit négocier avec Macky Sall.
Candidature présidentielle: Farba Senghor avoue qu’il ne peut être candidat à la présidentielle de 2019 d’autant que les législatives se sont mal déroulées avec un pourcentage catastrophique. « Il faut aussi avoir des moyens financiers et une bonne organisation alors que je ne suis pas dans ses dispositions. Je suis dans mon coin et j’attends de venir voir. Je suis libéral et il ya deux camps, celui d’Idrissa Seck et celui du Pds, alors que moi j’ai laissé le pds et Karim Wade. Même si son père a dit que je peux revenir, j’ai tourné la page. Maintenant, Macky Sall lui-même m’a appelé pour qu’on discute entre libéraux. je suis dans une entité et je lui dirai ma décision, une fois que j’aurai pris langue avec mes proches », a-t-il dit.