« Le ministère des Finances fait l’objet de beaucoup de convoitises ».
Telle est l’explication que Cheikh Diba administre à la campagne de dénigrement tristement opportuniste et à peine voilée dont il fait l’objet de la part de quelques lanceurs d’alerte qui, pour plaire au Prince, sont prêts à se servir de tous le obus de notre Armée pour écraser des fourmis, qui n’existent d’ailleurs que dans leur imagination.
Monsieur Diba, devant la Représentation nationale, a dit à qui voilait l’entendre qu’on ne le prendra pas à défaut. Ces propos, sortis de la bouche d’un homme très sûr de lui-même, ont naturellement arraché des applaudissements aux députés, et san doute à raison, puisque, de toute évidence, cette forme de mise à l’épreuve de soi ne s’entendra pas fréquemment dans cette auguste enceinte.
En vérité, il n’est point étonnant d’entendre cet homme parler de la sorte pour solder ses comptes avec ceux qui farfouillent pour trouver des cafards dans management.
Cheikh Diba, est-il besoin de le dire, est un pilier essentiel dans le dispositif de la Finance au Sénégal. En effet, aussi bien du point de ses qualifications que de la qualité des différentes responsabilités qu’il a eu à exercer dans le domaine depuis plus de vingt ans, l’homme brille et se distingue, faisant de sa personnalité professionnelle une pièce maitresse, pour ne pas dire incontournable dans le maniement de notre nomenclature budgétaire.
Ses multiples contributions aux ajustements et réajustements des politiques financières du Sénégal constituent un référentiel de premier choix dans le domaine. Et pourtant, si son avis a souvent fait autorité, l’homme a toujours préféré rester effacé et foncièrement discret.
Au plan des relations humaines, il est crédité d’une sociabilité enviable. En effet, à une échelle insoupçonnée, on lui reconnait un fort capital philanthropique, une sollicitude à toute épreuve, autant de qualités humaines que ses compatriotes attendent naturellement d’une personnalité de sa trempe. Il n’a jamais voulu faire trop de bruit autour des actes de haute portée citoyenne que les vicissitudes sociopolitiques l’ont souvent amené à poser ; mais de toute évidence, ses initiatives pour le triomphe de la Vérité n’ont jamais manqué de faire évoluer la situation du pays du bon côté.
Toutes choses pour dire qu’il n’y a l’ombre d’un hasard si le duo Diomaye/Sonko a pensé à lui pour occuper le portefeuille ministériel qui est le sien dès les premières heures de leur accession au pouvoir.
Le chef de l’État et le Premier ministre ont estimé que ce crack de la Fiance est digne de confiance et l’ont responsabilisé à la hauteur de ses compétences unanimement reconnues ; et il le leur rend bien, notamment par un exercice impeccable de cette responsabilité, qui est la première vitrine de notre rapport au Progrès et au Développement.
Mais il est de notoriété publique que, de façon tacite, il y a du monde qui se bouscule au portillon. La convoitise dont il a fait état devant la députation est avérée, et nous parlons en toute connaissance de cause.
En effet, nous tenons de sources sûres que pas mal de soutiens du duo Diomaye/Sonko, qui croient avoir le profil de l’emploi, n’ont de cesse de manœuvrer grave pour voir le dynamique financier éjecté de son fauteuil pour rapidement prendre sa place.
La posture que le jeune ministre a face à cette monstrueuse campagne de diabolisation mérite cependant réflexion.
En effet, en martelant qu’il ne va pas accepter que le duo qui a placé une si haute confiance en lui ait plus de valeurs que lui, Cheikh Diba dispense à tous ceux qui croient qu’il serait coupable de quoi que ce soit une cinglante leçon de dépassement et de grandeur morale. Dans cette courte phrase, se reflète une personnalité de dimension exceptionnelle, où se croisent le courage, la loyauté, la lucidité, la foi, mais surtout une touchante reconnaissance envers ceux-là qui l’ont nommé à ce poste prestigieux, et qui, très certainement, ne se laisseront jamais distraire par ceux qui poussent des cris d’orfraie à leurs oreilles pour les amener à prendre une mauvaise décision.
njaydakarposte@gmail.com
Telle est l’explication que Cheikh Diba administre à la campagne de dénigrement tristement opportuniste et à peine voilée dont il fait l’objet de la part de quelques lanceurs d’alerte qui, pour plaire au Prince, sont prêts à se servir de tous le obus de notre Armée pour écraser des fourmis, qui n’existent d’ailleurs que dans leur imagination.
Monsieur Diba, devant la Représentation nationale, a dit à qui voilait l’entendre qu’on ne le prendra pas à défaut. Ces propos, sortis de la bouche d’un homme très sûr de lui-même, ont naturellement arraché des applaudissements aux députés, et san doute à raison, puisque, de toute évidence, cette forme de mise à l’épreuve de soi ne s’entendra pas fréquemment dans cette auguste enceinte.
En vérité, il n’est point étonnant d’entendre cet homme parler de la sorte pour solder ses comptes avec ceux qui farfouillent pour trouver des cafards dans management.
Cheikh Diba, est-il besoin de le dire, est un pilier essentiel dans le dispositif de la Finance au Sénégal. En effet, aussi bien du point de ses qualifications que de la qualité des différentes responsabilités qu’il a eu à exercer dans le domaine depuis plus de vingt ans, l’homme brille et se distingue, faisant de sa personnalité professionnelle une pièce maitresse, pour ne pas dire incontournable dans le maniement de notre nomenclature budgétaire.
Ses multiples contributions aux ajustements et réajustements des politiques financières du Sénégal constituent un référentiel de premier choix dans le domaine. Et pourtant, si son avis a souvent fait autorité, l’homme a toujours préféré rester effacé et foncièrement discret.
Au plan des relations humaines, il est crédité d’une sociabilité enviable. En effet, à une échelle insoupçonnée, on lui reconnait un fort capital philanthropique, une sollicitude à toute épreuve, autant de qualités humaines que ses compatriotes attendent naturellement d’une personnalité de sa trempe. Il n’a jamais voulu faire trop de bruit autour des actes de haute portée citoyenne que les vicissitudes sociopolitiques l’ont souvent amené à poser ; mais de toute évidence, ses initiatives pour le triomphe de la Vérité n’ont jamais manqué de faire évoluer la situation du pays du bon côté.
Toutes choses pour dire qu’il n’y a l’ombre d’un hasard si le duo Diomaye/Sonko a pensé à lui pour occuper le portefeuille ministériel qui est le sien dès les premières heures de leur accession au pouvoir.
Le chef de l’État et le Premier ministre ont estimé que ce crack de la Fiance est digne de confiance et l’ont responsabilisé à la hauteur de ses compétences unanimement reconnues ; et il le leur rend bien, notamment par un exercice impeccable de cette responsabilité, qui est la première vitrine de notre rapport au Progrès et au Développement.
Mais il est de notoriété publique que, de façon tacite, il y a du monde qui se bouscule au portillon. La convoitise dont il a fait état devant la députation est avérée, et nous parlons en toute connaissance de cause.
En effet, nous tenons de sources sûres que pas mal de soutiens du duo Diomaye/Sonko, qui croient avoir le profil de l’emploi, n’ont de cesse de manœuvrer grave pour voir le dynamique financier éjecté de son fauteuil pour rapidement prendre sa place.
La posture que le jeune ministre a face à cette monstrueuse campagne de diabolisation mérite cependant réflexion.
En effet, en martelant qu’il ne va pas accepter que le duo qui a placé une si haute confiance en lui ait plus de valeurs que lui, Cheikh Diba dispense à tous ceux qui croient qu’il serait coupable de quoi que ce soit une cinglante leçon de dépassement et de grandeur morale. Dans cette courte phrase, se reflète une personnalité de dimension exceptionnelle, où se croisent le courage, la loyauté, la lucidité, la foi, mais surtout une touchante reconnaissance envers ceux-là qui l’ont nommé à ce poste prestigieux, et qui, très certainement, ne se laisseront jamais distraire par ceux qui poussent des cris d’orfraie à leurs oreilles pour les amener à prendre une mauvaise décision.
njaydakarposte@gmail.com