Face à la montée de la criminalité urbaine, un nouveau déploiement attendu au niveau de la police
Depuis son installation à la tête de la DGPN ,le Contrôleur Général de la Police a juste opéré quelques changements. Il nous revient de sources jusqu'ici fiables que le patron des limiers du Sénégal "va secouer le cocotier" Quid des raisons?
"Ecoutez, ce réaménagement annoncé entre dans l'ordre normal des choses. Le patron s'est donné un temps de réflexion et il a vu ses éléments à l'oeuvre. Il sait qui est qui et qui fait quoi" consent à nous révéler cette source au fait de ce qui se trame dans les plus hautes sphères judiciaires.
Qui plus est, nous avons pu glaner d'autres canaux proches des officines du pouvoir Exécutif que "le Président de la République n'a pas du tout été tendre avec les responsables de la sécurité nationale au vu de la recrudescence du grand banditisme au niveau des sphères urbaines".
" En effet, renchérit notre informateur, lors des deux derniers Conseils Nationaux de Sécurité, le Chef de l'état avait démontré à l'aide de statistiques que 2016 aura été à tout point une année ensanglantée par les nombreux crimes perpétrées ou les attaques et autres cambriolages en bande organisée. C'est ainsi que le DGPN a fini de se secouer. Il est tenu de prendre le taureau par les cornes c'est à dire mettre les hommes qu'il faut à la place qu'il faut. D'où la nécessité de réaménager en premier le Service Régional de la Sécurité Publique ainsi que les principaux services de police judiciaire. Pour assurer le maillage de la capitale, il est prévu un renfort en effectif des commissariats et postes de police avec principalement des missions outre que la circulation et le contrôle routier érigés en seule mission de police préventive".
Concernant les futurs candidats à ces postes stratégiques, des noms comme ceux de deux procéduriers de haut niveau semblent sortir du lot, il s'agit des commissaires de police Djibril Camara ancien patron de la SU de retour de mission et Alexandre Sambou ancien patron de la Brigade des Moeurs de retour de congé maladie.
Certains policiers contactés piaffent d'impatience car unanimement, ils reconnaissent à ces deux officiers les qualités morales, professionnelles et techniques pour diriger les services de police judiciaire actuellement en léthargie.
Quoi qu'il en soit, les prochains jours nous édifieront bien!
"Ecoutez, ce réaménagement annoncé entre dans l'ordre normal des choses. Le patron s'est donné un temps de réflexion et il a vu ses éléments à l'oeuvre. Il sait qui est qui et qui fait quoi" consent à nous révéler cette source au fait de ce qui se trame dans les plus hautes sphères judiciaires.
Qui plus est, nous avons pu glaner d'autres canaux proches des officines du pouvoir Exécutif que "le Président de la République n'a pas du tout été tendre avec les responsables de la sécurité nationale au vu de la recrudescence du grand banditisme au niveau des sphères urbaines".
" En effet, renchérit notre informateur, lors des deux derniers Conseils Nationaux de Sécurité, le Chef de l'état avait démontré à l'aide de statistiques que 2016 aura été à tout point une année ensanglantée par les nombreux crimes perpétrées ou les attaques et autres cambriolages en bande organisée. C'est ainsi que le DGPN a fini de se secouer. Il est tenu de prendre le taureau par les cornes c'est à dire mettre les hommes qu'il faut à la place qu'il faut. D'où la nécessité de réaménager en premier le Service Régional de la Sécurité Publique ainsi que les principaux services de police judiciaire. Pour assurer le maillage de la capitale, il est prévu un renfort en effectif des commissariats et postes de police avec principalement des missions outre que la circulation et le contrôle routier érigés en seule mission de police préventive".
Concernant les futurs candidats à ces postes stratégiques, des noms comme ceux de deux procéduriers de haut niveau semblent sortir du lot, il s'agit des commissaires de police Djibril Camara ancien patron de la SU de retour de mission et Alexandre Sambou ancien patron de la Brigade des Moeurs de retour de congé maladie.
Certains policiers contactés piaffent d'impatience car unanimement, ils reconnaissent à ces deux officiers les qualités morales, professionnelles et techniques pour diriger les services de police judiciaire actuellement en léthargie.
Quoi qu'il en soit, les prochains jours nous édifieront bien!
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