Le candidat à sa propre succession à la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a rencontré la ligue et les acteurs du football de Kaolack. «Il s’agit aujourd’hui, avant même de penser solliciter à nouveau leurs suffrages, de venir comme le disent les militaires au rapport, rendre compte de la gestion de ce qu’ils m’ont confié, partager avec eux, écouter les critiques et à partir de là aussi évoquer d’autres questions liées à la vie de chaque Ligue régionale», explique Me Augustin Senghor.
«Le moral au beau fixe», le président sortant de la FSF pense qu’il est «important de comprendre que ces moments de renouvellements sont très importants dans la vie d’une structure comme la (FSF)».
Invitant à «la sérénité», il soutient que «Mbaye Diouf Dia est membre à part entière du Comité Exécutif». «A la fin de chaque mandat, chacun a le droit de se présenter à n’importe quel poste. Il a estimé devoir le faire au poste de président, il est libre de le faire. Je ne peux pas préjuger de son aptitude ou non. C’est quelqu’un que j’ai pratiqué dans le football, nous avons eu à cheminer, à faire d’excellentes choses. Je le respecte profondément. Je ne me verrai jamais le critiquer. L’essentiel est qu’il a fait un choix qui est le sien et il a ses raisons. Je le respecte… Mais à la vérité, Mbaye Diouf Dia (chargé de la petite catégorie à la FSF) pourra difficilement surfer sur un autre projet que celui qu’il a porté depuis plus de quatre (4) ans», dit-il dans un entretien dans «l’As».
Avant de poursuivre : «(…) Pour Louis Lamotte, c’est autre chose. Il a été avec nous pendant quatre (4) ans. Avant cela, on a été en Comité de normalisation, j’étais chargé de la réforme et lui, il était le coordonnateur. Après, il a été le premier vice-président de la fédération en tant que premier président de la Ligue Sénégalaise de Football Professionnel (LSFP). Il a décidé, en un tournant important de la vie du football, de quitter et là aussi, il avait ses raisons. Quand je le vois revenir pour dire que nous n’avons pas travaillé, ça me surprend un peu. Mais cela n’empêche pas que nous respectons sa position… ».
L'Assemblée générale élective de la FSF est prévu le 12 août 2017.
«Le moral au beau fixe», le président sortant de la FSF pense qu’il est «important de comprendre que ces moments de renouvellements sont très importants dans la vie d’une structure comme la (FSF)».
Invitant à «la sérénité», il soutient que «Mbaye Diouf Dia est membre à part entière du Comité Exécutif». «A la fin de chaque mandat, chacun a le droit de se présenter à n’importe quel poste. Il a estimé devoir le faire au poste de président, il est libre de le faire. Je ne peux pas préjuger de son aptitude ou non. C’est quelqu’un que j’ai pratiqué dans le football, nous avons eu à cheminer, à faire d’excellentes choses. Je le respecte profondément. Je ne me verrai jamais le critiquer. L’essentiel est qu’il a fait un choix qui est le sien et il a ses raisons. Je le respecte… Mais à la vérité, Mbaye Diouf Dia (chargé de la petite catégorie à la FSF) pourra difficilement surfer sur un autre projet que celui qu’il a porté depuis plus de quatre (4) ans», dit-il dans un entretien dans «l’As».
Avant de poursuivre : «(…) Pour Louis Lamotte, c’est autre chose. Il a été avec nous pendant quatre (4) ans. Avant cela, on a été en Comité de normalisation, j’étais chargé de la réforme et lui, il était le coordonnateur. Après, il a été le premier vice-président de la fédération en tant que premier président de la Ligue Sénégalaise de Football Professionnel (LSFP). Il a décidé, en un tournant important de la vie du football, de quitter et là aussi, il avait ses raisons. Quand je le vois revenir pour dire que nous n’avons pas travaillé, ça me surprend un peu. Mais cela n’empêche pas que nous respectons sa position… ».
L'Assemblée générale élective de la FSF est prévu le 12 août 2017.