Le Forum sur le financement du sport est ouvert, à Bamako. L’organisation de ce forum entre dans le cadre de l’exécution de la Politique nationale de développement du sport (PNDS) élaborée par le ministère des Sports et qui a été adoptée, le 8 avril 2015, en conseil des ministres. La PNDS est assortie d’un plan d’action 2016-2020, dont la mise en œuvre est estimée à un peu plus de 97 milliards de F CFA. L’objectif général du forum est de proposer des sources de financement innovant ou d’autofinancement et d’identifier un mécanisme permanent de financement du sport au Mali, à travers la mise en œuvre du Plan d’action de la PNDS. Les participants au forum sont les services techniques du ministère des Sports et d’autres départements ministériels, les collectivités, les associations sportives nationales, africaines, et internationales, le public sportif national, les investisseurs étrangers, les firmes internationales et les sponsors nationaux et internationaux du sport. Au Mali, ils en sont à l’heure des sociétés sportives contrairement au Sénégal où nous avons des sociétés commerciales à la place.
La Cote d’Ivoire explore le financement par la propriété intellectuelle
En Côte d’ivoire on est bien en avance dans la recherche de financement pour le sport. Au delà de la déclaration d’intention, les ivoiriens ont poussé la réflexion pour identifier les sources qui peuvent alimenter financièrement le sport de leur pays. Du 12 au 14 juin, les autorités ivoiriennes ont fait appel aux experts, parfois internationaux, pour les aider dans leur recherche de solutions. C’est dans ce cadre que le Pr Abdoulaye Sakho a fait une communication, bien appréciée par les observateurs, sur les stratégies de financement du sport par la propriété intellectuelle.
Le Sénégal à l’heure des grandes idées et de la politique
Au Sénégal, la question du financement du sport est souvent agitée. Mais, reste à franchir le pas pour traduire en réalité les grandes idées et toutes les études et résultats de recherche sur la question. On parle code du sport, en chantier, qui prendrait en compte l’ensemble des préoccupations. A ce jour, le rythme est lent. Très lent que l’ensemble du sport sénégalais en souffre. Aujourd’hui, l’Etat reste le seule bailleur du sport, qu’il soit de haut niveau ou de masse. Les compétitions internationales sont toujours financées exclusivement par le budget de l’Etat. Les infrastructures sont construites et entretenues par le budget de l’Etat. C’est encore l’état qui finance les masses à travers l’UASSU, le sport travailliste. Pourtant, il y a cinq ans, le ministère des sports avait initié des journées de réflexion sur le financement du sport. Une proposition majeure avait rencontré l’assentiment des participants. Le Cnoss avait sorti la proposition de créer un fonds. Où en est-on à ce jour ? Au delà des déclarations d’intention, un cadre réglementaire, juridique incitatif est impératif pour faire le grand pas en avant.
Avec Diatosports
La Cote d’Ivoire explore le financement par la propriété intellectuelle
En Côte d’ivoire on est bien en avance dans la recherche de financement pour le sport. Au delà de la déclaration d’intention, les ivoiriens ont poussé la réflexion pour identifier les sources qui peuvent alimenter financièrement le sport de leur pays. Du 12 au 14 juin, les autorités ivoiriennes ont fait appel aux experts, parfois internationaux, pour les aider dans leur recherche de solutions. C’est dans ce cadre que le Pr Abdoulaye Sakho a fait une communication, bien appréciée par les observateurs, sur les stratégies de financement du sport par la propriété intellectuelle.
Le Sénégal à l’heure des grandes idées et de la politique
Au Sénégal, la question du financement du sport est souvent agitée. Mais, reste à franchir le pas pour traduire en réalité les grandes idées et toutes les études et résultats de recherche sur la question. On parle code du sport, en chantier, qui prendrait en compte l’ensemble des préoccupations. A ce jour, le rythme est lent. Très lent que l’ensemble du sport sénégalais en souffre. Aujourd’hui, l’Etat reste le seule bailleur du sport, qu’il soit de haut niveau ou de masse. Les compétitions internationales sont toujours financées exclusivement par le budget de l’Etat. Les infrastructures sont construites et entretenues par le budget de l’Etat. C’est encore l’état qui finance les masses à travers l’UASSU, le sport travailliste. Pourtant, il y a cinq ans, le ministère des sports avait initié des journées de réflexion sur le financement du sport. Une proposition majeure avait rencontré l’assentiment des participants. Le Cnoss avait sorti la proposition de créer un fonds. Où en est-on à ce jour ? Au delà des déclarations d’intention, un cadre réglementaire, juridique incitatif est impératif pour faire le grand pas en avant.
Avec Diatosports