Pour le centenaire de sa première édition en Uruguay, la Coupe du monde masculin « unira trois continents et six pays », promet l’instance du football, qui doit encore valider les critères techniques et n’attribuera strictement la compétition que fin 2024.
Mais avec l’approbation « unanime » de ce dossier unique par le Conseil de la Fifa, la route semble dévoilée pour cette formule intercontinentale inédite, promettant un montage politique et logistique complexe et de nombreuses questions autour de l’impact environnemental des grands événements sportifs. .
L’annonce de mercredi met fin à la rivalité annoncée entre deux favoris, une candidature conjointe de l’Argentine, de l’Uruguay, du Chili et du Paraguay, et un ticket européen longtemps retenu par l’Espagne et le Portugal.
Il y a un an, avec l’appui de l’UEFA, les deux pays avaient intégré l’Ukraine à leur dossier, assurant vouloir lancer « un message de solidarité et d’espoir » et rendre hommage à « la ténacité et la résilience » d’un pays occupé par l’armée russe depuis février 2022.
Mais cet attelage hautement politique ne s’était pas précisé depuis et le Maroc, quintuple candidat malheureux à l’accueil du tournoi, était entré dans la danse mi-mars, sans que soit alors précisé ce qu’il adviendrait de l’Ukraine.
L’accord entre l’UEFA et ses homologues africains (CAF) et sud-américains (CONMEBOL) entérine à la fois le retrait de l’Ukraine et celui du projet initial Argentine-Chili-Uruguay-Paraguay, en échange d’une concession symbolique majeure.
Selon la Fifa, une « cérémonie du centenaire » se tiendra en effet « au stade où tout a commencé », à Montevideo, à l’époque où l’épreuve réunissait 13 équipes dans une même ville hôte – contre 32 lors du Mondial-2022 au Qatar et 48 à partir de l’édition 2026 aux Etats-Unis, Canada et Mexique.
Par ailleurs, Montevideo, Asuncion et Buenos Aires accueilleront chacun une rencontre du Mondial, même si l’essentiel de l’épreuve se déroulera entre les trois pays organisateurs.
Mais avec l’approbation « unanime » de ce dossier unique par le Conseil de la Fifa, la route semble dévoilée pour cette formule intercontinentale inédite, promettant un montage politique et logistique complexe et de nombreuses questions autour de l’impact environnemental des grands événements sportifs. .
L’annonce de mercredi met fin à la rivalité annoncée entre deux favoris, une candidature conjointe de l’Argentine, de l’Uruguay, du Chili et du Paraguay, et un ticket européen longtemps retenu par l’Espagne et le Portugal.
Il y a un an, avec l’appui de l’UEFA, les deux pays avaient intégré l’Ukraine à leur dossier, assurant vouloir lancer « un message de solidarité et d’espoir » et rendre hommage à « la ténacité et la résilience » d’un pays occupé par l’armée russe depuis février 2022.
Mais cet attelage hautement politique ne s’était pas précisé depuis et le Maroc, quintuple candidat malheureux à l’accueil du tournoi, était entré dans la danse mi-mars, sans que soit alors précisé ce qu’il adviendrait de l’Ukraine.
L’accord entre l’UEFA et ses homologues africains (CAF) et sud-américains (CONMEBOL) entérine à la fois le retrait de l’Ukraine et celui du projet initial Argentine-Chili-Uruguay-Paraguay, en échange d’une concession symbolique majeure.
Selon la Fifa, une « cérémonie du centenaire » se tiendra en effet « au stade où tout a commencé », à Montevideo, à l’époque où l’épreuve réunissait 13 équipes dans une même ville hôte – contre 32 lors du Mondial-2022 au Qatar et 48 à partir de l’édition 2026 aux Etats-Unis, Canada et Mexique.
Par ailleurs, Montevideo, Asuncion et Buenos Aires accueilleront chacun une rencontre du Mondial, même si l’essentiel de l’épreuve se déroulera entre les trois pays organisateurs.