F. Mbaye, une dame trentenaire, exerce le plus vieux métier au monde, mais ne se reconnait pas comme une prostituée. De teint clair, le visage radieux, dotée d’un corps de rêve avec des hanches larges, elle est de ces femmes qui profitent de leur beauté pour subvenir à leurs besoins.
«Je ne me considère pas comme une prostituée, car je ne marchande pas avec mes partenaires. Je fréquente des hommes qui savent valoriser une femme qui, en retour est capable de répondre à leurs désirs», lâche-t-elle, tout en ne cachant pas l’état de colère dans lequel elle se trouve dès qu’on l’assimile à une péripatéticienne.
Interrogée, elle a avoué dans les colonnes de Walfadjri L’Aurore, être de celles qui font du ‘’mbaraan’’ (collection de partenaires multiples) comme toutes ses semblables célibataires. «Les hommes qui me courtisent sont prêts à satisfaire tous mes besoins. En retour, je leur fais profiter d’un bon moment d’intimité», renseigne F. Mbaye.
seneweb News
«Je ne me considère pas comme une prostituée, car je ne marchande pas avec mes partenaires. Je fréquente des hommes qui savent valoriser une femme qui, en retour est capable de répondre à leurs désirs», lâche-t-elle, tout en ne cachant pas l’état de colère dans lequel elle se trouve dès qu’on l’assimile à une péripatéticienne.
Interrogée, elle a avoué dans les colonnes de Walfadjri L’Aurore, être de celles qui font du ‘’mbaraan’’ (collection de partenaires multiples) comme toutes ses semblables célibataires. «Les hommes qui me courtisent sont prêts à satisfaire tous mes besoins. En retour, je leur fais profiter d’un bon moment d’intimité», renseigne F. Mbaye.
seneweb News