Une déclaration avant même l'ouverture du procès civil dans cette affaire, lundi 2 octobre. Mardi, un juge new-yorkais a déclaré Donald Trump et deux de ses enfants, Donald Trump Jr et Eric Trump, responsables de "fraudes" financières "répétées" dans les années 2010, dans l'évaluation des actifs de la Trump Organization.
Dans ce dossier, la procureure générale de l'Etat de New York Letitia James, qui avait porté plainte, réclame notamment 250 millions de dollars de réparations financières et des interdictions de diriger des sociétés pour l'ancien président américain et ses proches. La procureure accuse le milliardaire républicain et ses enfants d'avoir "gonflé" le patrimoine de la Trump Organization de plusieurs milliards de dollars, pour entre autres obtenir des prêts plus avantageux auprès des banques, de 2011 à 2021.
Dans sa décision mardi, le juge Arthur Engoron estime que Donald Trump et ses deux enfants, vice-présidents exécutifs de la Trump Organization, sont "responsables" de "violations répétées" de la loi. Il ajoute que les documents soumis par la procureure générale montrent "clairement" des "évaluations frauduleuses" de la part de Donald Trump pour des actifs du groupe, une myriade de sociétés qui s'étend de l'immobilier résidentiel aux hôtels de luxe en passant par des clubs de golf.
Dans ce dossier, la procureure générale de l'Etat de New York Letitia James, qui avait porté plainte, réclame notamment 250 millions de dollars de réparations financières et des interdictions de diriger des sociétés pour l'ancien président américain et ses proches. La procureure accuse le milliardaire républicain et ses enfants d'avoir "gonflé" le patrimoine de la Trump Organization de plusieurs milliards de dollars, pour entre autres obtenir des prêts plus avantageux auprès des banques, de 2011 à 2021.
Dans sa décision mardi, le juge Arthur Engoron estime que Donald Trump et ses deux enfants, vice-présidents exécutifs de la Trump Organization, sont "responsables" de "violations répétées" de la loi. Il ajoute que les documents soumis par la procureure générale montrent "clairement" des "évaluations frauduleuses" de la part de Donald Trump pour des actifs du groupe, une myriade de sociétés qui s'étend de l'immobilier résidentiel aux hôtels de luxe en passant par des clubs de golf.