Zlatan Ibrahimovic est devenu le meilleur buteur de l’histoire du PSG en inscrivant un doublé sur penalty face à l’OM, dimanche soir lors de la 9 journée de L1 (2-1). Avec 110 buts au compteur, le Suédois dépasse désormais Pedro Miguel Pauleta d’une unité (109).
Pedro Miguel Pauleta était devenu le meilleur buteur de l’histoire du Paris Saint-Germain lors d’une sombre défaite parisienne (1-2) face à Toulouse, le 15 décembre 2007. Le Portugais avait dépassé Dominique Rocheteau en inscrivant son 101e but, déjà sur penalty, dans les arrêts de jeu de la rencontre. Presque huit années plus tard, Zlatan Ibrahimovic a utilisé le même moyen à deux reprises pour égaler puis dépasser l’Aigle des Açores face à l’OM (2-1) dimanche soir, en pleine lumière.
Depuis plusieurs mois, il était acquis que le Suédois allait effacer le Portugais des tablettes parisiennes. Restait à savoir quand. Ibrahimovic a donc attendu la lumière du Classique, car il ne fait jamais rien comme les autres. Pas au mieux de sa forme depuis le début de la saison, le Suédois traîne son spleen depuis sa blessure au genou face à l’OL lors du Trophée des champions, au début du mois d’août, et depuis ses douleurs ressenties à l'abdomen avec la Suède début septembre. Fait rare pour lui depuis son arrivée dans la capitale française, Zlatan a dû attendre la 7e journée de L1 pour inscrire son premier but en championnat cette saison, contre Guingamp (3-0). La semaine passée, il a remis, avec de la réussite, le PSG dans le droit chemin à Nantes (1-4).
Pourtant, dans le jeu, Ibrahimovic est bien moins rayonnant que lors de ses trois premières années parisiennes. Emprunté, dans le dur physiquement car en manque de rythme après ses différentes blessures, le Suédois semble avoir enfin lancé sa saison. Du moins sur le plan statistique, car il est encore loin d’être au niveau requis dans ce Paris Saint-Germain, avec encore 15 ballons perdus et une attitude plus que nonchalante. Mais l’important était ailleurs. Le Parc l’a bien compris, en lui offrant une belle standing ovation à sa sortie comme à la fin de la rencontre, où il a reçu un trophée des mains de Nasser Al-Khelaïfi, le président du PSG.
Pedro Miguel Pauleta était devenu le meilleur buteur de l’histoire du Paris Saint-Germain lors d’une sombre défaite parisienne (1-2) face à Toulouse, le 15 décembre 2007. Le Portugais avait dépassé Dominique Rocheteau en inscrivant son 101e but, déjà sur penalty, dans les arrêts de jeu de la rencontre. Presque huit années plus tard, Zlatan Ibrahimovic a utilisé le même moyen à deux reprises pour égaler puis dépasser l’Aigle des Açores face à l’OM (2-1) dimanche soir, en pleine lumière.
Depuis plusieurs mois, il était acquis que le Suédois allait effacer le Portugais des tablettes parisiennes. Restait à savoir quand. Ibrahimovic a donc attendu la lumière du Classique, car il ne fait jamais rien comme les autres. Pas au mieux de sa forme depuis le début de la saison, le Suédois traîne son spleen depuis sa blessure au genou face à l’OL lors du Trophée des champions, au début du mois d’août, et depuis ses douleurs ressenties à l'abdomen avec la Suède début septembre. Fait rare pour lui depuis son arrivée dans la capitale française, Zlatan a dû attendre la 7e journée de L1 pour inscrire son premier but en championnat cette saison, contre Guingamp (3-0). La semaine passée, il a remis, avec de la réussite, le PSG dans le droit chemin à Nantes (1-4).
Pourtant, dans le jeu, Ibrahimovic est bien moins rayonnant que lors de ses trois premières années parisiennes. Emprunté, dans le dur physiquement car en manque de rythme après ses différentes blessures, le Suédois semble avoir enfin lancé sa saison. Du moins sur le plan statistique, car il est encore loin d’être au niveau requis dans ce Paris Saint-Germain, avec encore 15 ballons perdus et une attitude plus que nonchalante. Mais l’important était ailleurs. Le Parc l’a bien compris, en lui offrant une belle standing ovation à sa sortie comme à la fin de la rencontre, où il a reçu un trophée des mains de Nasser Al-Khelaïfi, le président du PSG.