De décembre 2011 à nos jours, beaucoup d'eau aura coulé sous les ponts mais le cas Ndiaga Diouf du nom de ce jeune homme natif de Yeumbeul recruté comme nervi par des politiciens toujours tapis dans l'ombre, pour perpétrer des actions contre certaines personnalités de l'opposition d'alors et de la société civile,demeure une énigme.
Dakarposte a convoqué sa machine à remonter le temps pour comprendre les différentes étapes de cette sinistre affaire.
Il ressort de nos investigations auprès des services de Renseigments qu'à l'époque des fait, un blackout total leur avait été exigé et une interdiction formelle de s'immiscer dans une affaire entre politiciens était venue pour que nul n'en ignore.
Pour preuve, le 22 Décembre 2011 vers 10h des acteurs de la société civile qui devaient se réunir au siège de la RADDHO distante de la Mairie de Mermoz de quelques centaines de mètres,ont été discrètement prévenus par des contacts au niveau des Renseignements d'annuler cette réunion car faisant l'objet de menaces graves. Information confirmée par le leader d'un mouvement.
Autre fait troublant, quand les 5 véhicules L200 ayant quitté le siège du PDS sur la VDN selon nos sources ont mis le cap sur la Mairie, le Commissaire de Police de Dieuppeul avait été saisi sur la dangerosité de ce cortège armé et dangereux par ce même leader de mouvement sans qu'aucune action ne soit entreprise et ce malgré les multiples appels sans effet. Et il a fallu qu'il y ait affrontement et mort d'homme pour voir arriver la cavalerie.
Cela aurait pu être pire si ces nervis après la mairie de Mermoz s'étaient dirigés vers le siège de la RADDHO.
Plusieurs questions continuent de tarauder l'esprit des Sénégalais qui ne comprennent plus rien à ce dossier quand on sait que la police avait arreté et mis à la disposition de la Justice 4 autres nervis qui avaient été recruté en même temps que Ndiaga Diouf. Pourtant en parcourant les procès verbaux d'audition, ces nervis avaient donné assez d'éléments pour identifier les vrais commanditaires.
Qu'en est il de celui là qui dirigeait les opérations et dont les nervis tant durant l'attaque de la Mairie que dans leurs auditions,appelaient "INS" que certains ont vite assimilé à Inspecteur et cela en partie plausible du fait de nombreux calots bleus nommés aux grades d'Inspecteur de Police ou Commandant de Police.
Aux dernières nouvelles, le fameux "Ins" a un nom et votre site préféré vous promet de rebondir sur cette affaire Barthélemy Dias qui a de plus en plus des relents de règlements de comptes ou de vendetta sicilienne.
Dakarposte a convoqué sa machine à remonter le temps pour comprendre les différentes étapes de cette sinistre affaire.
Il ressort de nos investigations auprès des services de Renseigments qu'à l'époque des fait, un blackout total leur avait été exigé et une interdiction formelle de s'immiscer dans une affaire entre politiciens était venue pour que nul n'en ignore.
Pour preuve, le 22 Décembre 2011 vers 10h des acteurs de la société civile qui devaient se réunir au siège de la RADDHO distante de la Mairie de Mermoz de quelques centaines de mètres,ont été discrètement prévenus par des contacts au niveau des Renseignements d'annuler cette réunion car faisant l'objet de menaces graves. Information confirmée par le leader d'un mouvement.
Autre fait troublant, quand les 5 véhicules L200 ayant quitté le siège du PDS sur la VDN selon nos sources ont mis le cap sur la Mairie, le Commissaire de Police de Dieuppeul avait été saisi sur la dangerosité de ce cortège armé et dangereux par ce même leader de mouvement sans qu'aucune action ne soit entreprise et ce malgré les multiples appels sans effet. Et il a fallu qu'il y ait affrontement et mort d'homme pour voir arriver la cavalerie.
Cela aurait pu être pire si ces nervis après la mairie de Mermoz s'étaient dirigés vers le siège de la RADDHO.
Plusieurs questions continuent de tarauder l'esprit des Sénégalais qui ne comprennent plus rien à ce dossier quand on sait que la police avait arreté et mis à la disposition de la Justice 4 autres nervis qui avaient été recruté en même temps que Ndiaga Diouf. Pourtant en parcourant les procès verbaux d'audition, ces nervis avaient donné assez d'éléments pour identifier les vrais commanditaires.
Qu'en est il de celui là qui dirigeait les opérations et dont les nervis tant durant l'attaque de la Mairie que dans leurs auditions,appelaient "INS" que certains ont vite assimilé à Inspecteur et cela en partie plausible du fait de nombreux calots bleus nommés aux grades d'Inspecteur de Police ou Commandant de Police.
Aux dernières nouvelles, le fameux "Ins" a un nom et votre site préféré vous promet de rebondir sur cette affaire Barthélemy Dias qui a de plus en plus des relents de règlements de comptes ou de vendetta sicilienne.