Malgré son jeune âge, Serigne Sidy Mokhtar Sylla a un pas dans le monde des sciences ésotériques et sait déchiffrer bien des faits qui interpellent la société. Ces derniers jours, le pays connait une série de suicides auxquels personne n’a jusque-là trouvé la moindre explication. Serigne Mokhtar Sylla ne passe pas par quatre chemins.
Selon lui, c’est la conséquence de l’hégémonie du mal sur le bien. Le jeune chef religieux évoque aussi la présence de ce qu’on appelle des « hafarites » au Sénégal.
« Ils possèdent certaines personnes au point de leur faire des choses qu’elles n’imagineraient pas en temps normal », explique-t-il.
Dans son entretien avec Dakaractu, il s’est aussi prononcé sur la pratique de la magie noire qu’il a catégoriquement déconseillée en raison de son caractère prohibé en Islam. Les différentes formes de la connaissance ésotérique dite « asrar » se sont invitées dans les discussions et il a exploré le champ de cette voie méconnue. De la maladie à coronavirus, le jeune chef religieux dira que c’est une maladie qui ne sera vaincue que par le corps médical.
« La médecine moderne est bien supérieure à la médecine traditionnelle. Chacun doit reconnaître ses limites pour un monde meilleur », conclut Serigne Sidy Mokhtar Sylla.
Selon lui, c’est la conséquence de l’hégémonie du mal sur le bien. Le jeune chef religieux évoque aussi la présence de ce qu’on appelle des « hafarites » au Sénégal.
« Ils possèdent certaines personnes au point de leur faire des choses qu’elles n’imagineraient pas en temps normal », explique-t-il.
Dans son entretien avec Dakaractu, il s’est aussi prononcé sur la pratique de la magie noire qu’il a catégoriquement déconseillée en raison de son caractère prohibé en Islam. Les différentes formes de la connaissance ésotérique dite « asrar » se sont invitées dans les discussions et il a exploré le champ de cette voie méconnue. De la maladie à coronavirus, le jeune chef religieux dira que c’est une maladie qui ne sera vaincue que par le corps médical.
« La médecine moderne est bien supérieure à la médecine traditionnelle. Chacun doit reconnaître ses limites pour un monde meilleur », conclut Serigne Sidy Mokhtar Sylla.