Nommé à la tête du très sérieux département de l’Enseignement supérieur, Cheikh Oumar HANN est attendu au tournant par étudiants et professeurs.
Si les premiers le récusent, déjà mettant en exergue sa gestion du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD), pour les enseignants, on préfère ne pas porter de préjugés défavorables.
Selon Malick FALL, secrétaire général du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES), la rupture n’est pas attendue du nouveau ministre. «Nous rendons un hommage au Professeur Mary Teuw NIANE pour le travail abattu à la tête du département de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pendant 6 ans, il a su amener un certain nombre de réformes pour le développement du sous-secteur. Le dialogue sincère est un impératif pour éviter toute perturbation. Le nouveau ministre doit s’inscrire dans cette dynamique de discussions et d’échanges des enjeux de l’Enseignement supérieur», a soutenu le patron du SAES.
Si les premiers le récusent, déjà mettant en exergue sa gestion du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD), pour les enseignants, on préfère ne pas porter de préjugés défavorables.
Selon Malick FALL, secrétaire général du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES), la rupture n’est pas attendue du nouveau ministre. «Nous rendons un hommage au Professeur Mary Teuw NIANE pour le travail abattu à la tête du département de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Pendant 6 ans, il a su amener un certain nombre de réformes pour le développement du sous-secteur. Le dialogue sincère est un impératif pour éviter toute perturbation. Le nouveau ministre doit s’inscrire dans cette dynamique de discussions et d’échanges des enjeux de l’Enseignement supérieur», a soutenu le patron du SAES.