Le Groupe Futurs Médias (Gfm) veut faire payer très cher à Dubaï Port World, qui a endommagé au point de la rendre inutilisable, son unité d'impression Offset et d'emballage d'un coût de 2 409 260 792 francs Cfa, alors que les services de manutention étaient en train de débarquer la machine au Port de Dakar. Outre les poursuites judiciaires annoncées, le groupe de presse Youssou Ndour mène une "guerre médiatique" sans merci contre la société émiratie.
Le quotidien L'Observateur, "bras armé" du groupe, dans sa livraison du jour a donné la parole aux ex-employés de Dp World, qui n'ont pas été tendres à l'endroit de leur ex-employeur. "Ce qui se passe aujourd'hui entre Dp World et Gfm est la conséquence d'un manque de main d'œuvre de qualité, depuis le licenciement, sans fondement, de 87 employés", ont expliqué hier, presque chœur; Kouli Sarr et Mamadou Thiao, deux des ex-délégués du personnel du personnel de la boite émiratie.
"Là où 87 personnes sont parties, il y a forcement un trou en terme de qualité. Aujourd'hui, il ne peut pas y avoir de qualité à Dp World. En plus, les travailleurs qui sont actuellement là-bas n'ont pas l'esprit tranquille, ils ont peur d'être licenciés à tout moment. Quelle que soit leur compétence, ces travailleurs ne sont pas à l'aise (...) La preuve, personne n'ose élever la voix pour soutenir les 87 personnes licenciées abusivement, ils ont peur de perdre leurs emplois", narre M. Sarr. Et son collègue M. Thiao d'enfoncer le clou : ''Avant ce mouvement d'humeur, les responsables de Dp World disaient tout le temps que c'est un Etat dans un Etat. Cela m'étonnait, parce que je ne pouvais pas comprendre qu'une société multinationale puisse se proclamer un Etat. Mais quand on a eu ce contentieux, je me suis rendu compte que Dp World voulait montrer sa force. Le 17 novembre 2012, Dp World a licencié ces personnes qui étaient toutes des permanents, avaient des Cdi (contrat à durée indéterminée). Et ils ont pris une main d'œuvre étrangère pour remplacer les personnes licenciées. Mais Dp World détient des machines que seules les personnes formées en la matière peuvent manipuler. Et ceux qui pleuvaient manipuler ces machines au Sénégal, faisaient moins de 30 personnes. C'est pourquoi nous disons qu'il n'y a plus de qualité après le licenciement de ces 87 personnes".
Avec Leral
Le quotidien L'Observateur, "bras armé" du groupe, dans sa livraison du jour a donné la parole aux ex-employés de Dp World, qui n'ont pas été tendres à l'endroit de leur ex-employeur. "Ce qui se passe aujourd'hui entre Dp World et Gfm est la conséquence d'un manque de main d'œuvre de qualité, depuis le licenciement, sans fondement, de 87 employés", ont expliqué hier, presque chœur; Kouli Sarr et Mamadou Thiao, deux des ex-délégués du personnel du personnel de la boite émiratie.
"Là où 87 personnes sont parties, il y a forcement un trou en terme de qualité. Aujourd'hui, il ne peut pas y avoir de qualité à Dp World. En plus, les travailleurs qui sont actuellement là-bas n'ont pas l'esprit tranquille, ils ont peur d'être licenciés à tout moment. Quelle que soit leur compétence, ces travailleurs ne sont pas à l'aise (...) La preuve, personne n'ose élever la voix pour soutenir les 87 personnes licenciées abusivement, ils ont peur de perdre leurs emplois", narre M. Sarr. Et son collègue M. Thiao d'enfoncer le clou : ''Avant ce mouvement d'humeur, les responsables de Dp World disaient tout le temps que c'est un Etat dans un Etat. Cela m'étonnait, parce que je ne pouvais pas comprendre qu'une société multinationale puisse se proclamer un Etat. Mais quand on a eu ce contentieux, je me suis rendu compte que Dp World voulait montrer sa force. Le 17 novembre 2012, Dp World a licencié ces personnes qui étaient toutes des permanents, avaient des Cdi (contrat à durée indéterminée). Et ils ont pris une main d'œuvre étrangère pour remplacer les personnes licenciées. Mais Dp World détient des machines que seules les personnes formées en la matière peuvent manipuler. Et ceux qui pleuvaient manipuler ces machines au Sénégal, faisaient moins de 30 personnes. C'est pourquoi nous disons qu'il n'y a plus de qualité après le licenciement de ces 87 personnes".
Avec Leral