L’Etat du Sénégal procédera le 25 novembre 2016 au paiement des intérêts semestriels de son emprunt obligataire dénommé Etat du Sénégal 6,30% 2015-2025 pour un montant global net d’impôt de 3,173 milliards FCFA (environ 5,395 millions de dollars), selon l’agence de presse africaine.
L’Etat du Sénégal avait lancé le 30 octobre 2015, un emprunt obligataire par appel public à l’épargne sur le marché financier de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) portant sur un montant de 50 milliards de FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0017 dollar). Ce montant levé était destinés au financement partiel du budget de 2015.
L’émetteur s’était engagé à offrir aux souscripteurs un taux d’intérêt de 6,30% (net de tout impôt pour les résidents au Sénégal) sur une durée de 10 ans avec un an de différé pour le remboursement du capital. Les échéances étaient semestrielles.
Depuis la fin des avances statutaires de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et qui permettait à l’institut d’émission de consentir des avances à 12 mois à chaque Etat membre à concurrence de 20% du montant des recettes fiscales du dernier exercice connu, le Sénégal, à l’instar des autres pays de l’UEMOA, est un habitué du marché financier de cette zone où il a eu à lever avec succès plusieurs emprunts obligataires. Les remboursements de ces emprunts n’ont jamais fait défaut.
L’Etat du Sénégal avait lancé le 30 octobre 2015, un emprunt obligataire par appel public à l’épargne sur le marché financier de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) portant sur un montant de 50 milliards de FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0017 dollar). Ce montant levé était destinés au financement partiel du budget de 2015.
L’émetteur s’était engagé à offrir aux souscripteurs un taux d’intérêt de 6,30% (net de tout impôt pour les résidents au Sénégal) sur une durée de 10 ans avec un an de différé pour le remboursement du capital. Les échéances étaient semestrielles.
Depuis la fin des avances statutaires de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et qui permettait à l’institut d’émission de consentir des avances à 12 mois à chaque Etat membre à concurrence de 20% du montant des recettes fiscales du dernier exercice connu, le Sénégal, à l’instar des autres pays de l’UEMOA, est un habitué du marché financier de cette zone où il a eu à lever avec succès plusieurs emprunts obligataires. Les remboursements de ces emprunts n’ont jamais fait défaut.