Plus ingrat que Daouda Sonko ,on t'ensevelit vivant. Cet individu employé comme vigile était bien traité.Dans la villa sise à Golf (banlieue dakaroise) où il était employé, Sonko était même considéré comme un membre de la famille bref, il était nourri, blanchi ...
Seulement, derrière le calme olympien de Sonko se cachait une sournoiserie. Le préposé à la sécurité ne lorgnait en fait que les rondeurs de Kiné Ndiaye, qui n'est autre que la soeur de son employeur.
En un mot, Sonko, qui ne doit pas jouir de toutes ses facultés mentales profitait des absences répétées de son patron pour abuser sexuellement de Kiné Ndiaye. Ce qui est grave, la dame quoi que bien gâtée par la nature est handicapée et... déficiente mentale.
A chaque fois que la maison était déserte, Sonko montait dans la chambre de la dame pour la forcer à coucher avec lui.
Dans son réquisitoire, le Procureur s'est dit choqué par le comportement inqualifiable du prévenu, détraqué sexuel . Il s'offusquera du fait que la partie civile apparue dans un état pitoyable n'en demeure pas moins vulnérable. "Elle saignait encore au moment de sa consultation médicale. Vous vous rendez compte" fera remarquer un des avocats de la partie civile.
Seulement, derrière le calme olympien de Sonko se cachait une sournoiserie. Le préposé à la sécurité ne lorgnait en fait que les rondeurs de Kiné Ndiaye, qui n'est autre que la soeur de son employeur.
En un mot, Sonko, qui ne doit pas jouir de toutes ses facultés mentales profitait des absences répétées de son patron pour abuser sexuellement de Kiné Ndiaye. Ce qui est grave, la dame quoi que bien gâtée par la nature est handicapée et... déficiente mentale.
A chaque fois que la maison était déserte, Sonko montait dans la chambre de la dame pour la forcer à coucher avec lui.
Dans son réquisitoire, le Procureur s'est dit choqué par le comportement inqualifiable du prévenu, détraqué sexuel . Il s'offusquera du fait que la partie civile apparue dans un état pitoyable n'en demeure pas moins vulnérable. "Elle saignait encore au moment de sa consultation médicale. Vous vous rendez compte" fera remarquer un des avocats de la partie civile.
Finalement, Sonko, qui n'a pas nié les faits, écopera d'une peine de dix ans de réclusion ferme. Il profitera certainement de cette privation de liberté pour méditer mais surtout changer son instinct bestial.