Elle meurt dans son sommeil: le médecin fait une étrange découverte

Rédigé par Dakarposte le Mardi 23 Aout 2016 à 14:16 modifié le Mardi 23 Aout 2016 14:18

Rachel Murphy (15 ans) ne s'est pas réveillée le 8 août 2015. Pourtant, rien ne laisser présager sa disparition soudaine. Le médecin légiste vient de trouver la réponse: un taux élevé de morphine équivalant à 12 fois plus que la dose mortelle. Cette ado britannique avait tout simplement suivi les conseils de ses parents. Rachel Murphy, 15 ans, ne s'est pas réveillée le 8 août 2015. Cette adolescente britannique a été retrouvée morte dans son lit par ses parents. Plus d'un après sa disparition, le médecin légiste a déterminé la cause exacte de sa mort.


Rachel présentait un taux élevé de morphine équivalant à 12 fois plus que la dose mortelle. Elle a consommé quinze tablettes durant les 48 heures avant sa mort, précise Metro. Épilepsie Rachel Murphy, originaire de Stalybridge (près de Manchester), souffrait d'épilepsie et de douleurs chroniques dans le dos, mais aussi d'arthrite, de stress et de dépression. Elle prenait régulièrement du paracétamol et de l'ibuprofène pour soulager ses douleurs. En revanche, et les médecins n'étaient pas au courant, elle consommait de puissants médicaments à base de morphine.

Dans un premier temps, ils avaient été prescrits à son père victime d'une arthrite sévère. "J'admets tout. À mes yeux, j'aidais ma fille. Je lui donnais ces médicaments seulement quand elle avait un cas d'épilepsie grave. Parfois, elle en avait quatre par jour. Je sais que je n'aurais pas dû mais je l'ai fait", a reconnu la maman de Rachel face aux enquêteurs. Enquête ouverte Même son de cloche pour son père: "Elle voulait aller à l'école. Elle choisissait ses vêtements et préparait son cartable mais, le matin suivant, elle avait une crise et devait rester à la maison.

Nous devions souvent l'aider à garder le contrôle et veiller à ce qu'elle ne se blesse pas. Elle se griffait et arrachait ses cheveux avant de commencer à trembler fort. Elle détestait aller chez le docteur. Je lui prenais ses rendez-vous mais elle refusait d'y aller. Elle avait honte d'être réduite à cela. Et c'est pourquoi j'ai commencé à lui donner mes propres antidouleurs. D'abord du tramadol et ensuite de la morphine. Nous espérions qu'elle ne connaîtrait plus la douleur." La police britannique a ouvert une enquête sur la mort de la jeune fille. Les parents de Rachel Murphy nient par contre avoir donné de la morphine à leur fille la soirée précédent son décès.
 

Auteur: 7sur7.be - 7sur7.be

Ngom Fatou Thiam
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