L’Opposition se met en marge de l’esprit de dialogue, en posant comme préalable à sa participation à ses concertations prévues demain mardi 21 novembre. C’est la conviction du ministre chargé de la communication de la présidence de la République. Invité de l’émission Objection de la radio Sud Fm (privée) hier, dimanche 19 novembre, El Hadji Hamidou Kassé a, par ailleurs, indiqué que le «problème de Khalifa Sall relève du juridique, donc, ne peut pas être à l’ordre du jour d’un dialogue politique». El Hadji Hamidou Kassé n’approuve pas l’attitude de certains responsables de l’opposition qui ont posé des préalables pour prendre part aux concertations initiées par le Chef de l’Etat, Macky Sall par l’entremise de son ministre de l’Intérieur Aly Ngouille Ndiaye.
Invité du jour de l’émission Objection de la radio Sud Fm (privée) hier, dimanche 19 novembre, le ministre en charge de la communication de la présidence, a même déploré l’attitude de ces responsables de l’opposition dite significative. Face à notre confrère Baye Oumar Gueye, le journaliste Philosophe, soulignant que sans dialogue, il n’y a pas de démocratie, a en effet, invité les responsables des coalitions Gagnante Wattu Sénégaal et Mankoo Taxawu Senegaal à non seulement être «conséquents» avec eux-mêmes mais aussi à «savoir faire la part des choses». «Quand on va à un dialogue, il y’a pas de préalables. Si vous énoncez des préalables, cela veut dire que vous n’êtes pas animés de l’esprit de dialogue. On ne peut pas poser des préalables», a-t-il précisé d’emblée avant de trancher net : «Le problème de Khalifa Sall qui relève du juridique ne peut pas être à l’ordre du jour d’un dialogue politique». «Il faut être conséquent et savoir discerner. Il y’a un dossier juridique, laissons à la justice le soin de trancher d’une manière ou d’une autre», a-t-il déclaré.
Auparavant, citant entre autres, les concertations sur le devenir de l’enseignement supérieur, les assisses nationales de l’éducation, le forum sur l’administration, les commissions nationales de réforme des institutions et de réforme foncière…, El Hadji Hamidou Kassé a souligné que le régime actuel privilégie le dialogue. «Vraiment la méthode de ce régime c’est d’abord le dialogue. Et, ce dialogue n’est pas que politique mais social, économique, culturel…, Il y’a véritablement une tradition, un principe du dialogue qui est installé», a-t-il indiqué avant d’ajouter au sujet du menu de la rencontre de demain convoquée selon lui, par le ministre de l’Intérieur sur instruction du chef de l’Etat et qui portera sur le «processus électoral mais sur notre vécu politique». «Il y’a un problème sur lequel, on ne revient pas concernant la dernière élection. Suite aux 47 listes enregistrées, il y’a à craindre que les prochaines élections qu’on arrive à 200 listes et comment on pourra gérer cette situation ? Certains parlent de bulletin unique mais je crois que cela ne règle pas le problème. Il faut que les acteurs politiques acceptent de se concerter, de dialoguer pour trouver une solution», précise-il avant de conclure : «la question de la modernisation des partis politiques et celle liée à la caution pour les élections à venir, le nombre et le profil des candidats, sont entre autres, questions sur lesquelles, il nous faut dialoguer».
Invité du jour de l’émission Objection de la radio Sud Fm (privée) hier, dimanche 19 novembre, le ministre en charge de la communication de la présidence, a même déploré l’attitude de ces responsables de l’opposition dite significative. Face à notre confrère Baye Oumar Gueye, le journaliste Philosophe, soulignant que sans dialogue, il n’y a pas de démocratie, a en effet, invité les responsables des coalitions Gagnante Wattu Sénégaal et Mankoo Taxawu Senegaal à non seulement être «conséquents» avec eux-mêmes mais aussi à «savoir faire la part des choses». «Quand on va à un dialogue, il y’a pas de préalables. Si vous énoncez des préalables, cela veut dire que vous n’êtes pas animés de l’esprit de dialogue. On ne peut pas poser des préalables», a-t-il précisé d’emblée avant de trancher net : «Le problème de Khalifa Sall qui relève du juridique ne peut pas être à l’ordre du jour d’un dialogue politique». «Il faut être conséquent et savoir discerner. Il y’a un dossier juridique, laissons à la justice le soin de trancher d’une manière ou d’une autre», a-t-il déclaré.
Auparavant, citant entre autres, les concertations sur le devenir de l’enseignement supérieur, les assisses nationales de l’éducation, le forum sur l’administration, les commissions nationales de réforme des institutions et de réforme foncière…, El Hadji Hamidou Kassé a souligné que le régime actuel privilégie le dialogue. «Vraiment la méthode de ce régime c’est d’abord le dialogue. Et, ce dialogue n’est pas que politique mais social, économique, culturel…, Il y’a véritablement une tradition, un principe du dialogue qui est installé», a-t-il indiqué avant d’ajouter au sujet du menu de la rencontre de demain convoquée selon lui, par le ministre de l’Intérieur sur instruction du chef de l’Etat et qui portera sur le «processus électoral mais sur notre vécu politique». «Il y’a un problème sur lequel, on ne revient pas concernant la dernière élection. Suite aux 47 listes enregistrées, il y’a à craindre que les prochaines élections qu’on arrive à 200 listes et comment on pourra gérer cette situation ? Certains parlent de bulletin unique mais je crois que cela ne règle pas le problème. Il faut que les acteurs politiques acceptent de se concerter, de dialoguer pour trouver une solution», précise-il avant de conclure : «la question de la modernisation des partis politiques et celle liée à la caution pour les élections à venir, le nombre et le profil des candidats, sont entre autres, questions sur lesquelles, il nous faut dialoguer».