La tête de liste de la coalition Ndawi Askan Wi, à travers sa page Facebook, a dénoncé cette forme de violence qui s’est invité dans la campagne électorale et appelle les différents leaders à plus de sérénité pour des élections apaisées et sans violence.
«La violence est haïssable. Nous condamnons sans équivoque ce qui s’est passé ces derniers jours à Ourossogui et à Grand Yoff. Aucune portion du territoire national n’est l’exclusivité d’un parti ou coalition de partis politiques; a fortiori en période électorale. Les provocations et autres réactions violentes sont aussi inutiles que dégradantes», peut-on lire.
Pour le leader de Pastef, « les jeunes, manipulés à dessein, doivent comprendre qu’aucun de ces prébendiers politiques ne mêlerait son fils à ces pugilats indignes d’une société civilisée. Ils sont d’ailleurs plus généralement bien au chaud dans des universités étrangères. Ce qui doit être exigé des prétendants, c’est un débat ou, à défaut, un exposé programmatique pour éclairer les choix ».
«La violence est haïssable. Nous condamnons sans équivoque ce qui s’est passé ces derniers jours à Ourossogui et à Grand Yoff. Aucune portion du territoire national n’est l’exclusivité d’un parti ou coalition de partis politiques; a fortiori en période électorale. Les provocations et autres réactions violentes sont aussi inutiles que dégradantes», peut-on lire.
Pour le leader de Pastef, « les jeunes, manipulés à dessein, doivent comprendre qu’aucun de ces prébendiers politiques ne mêlerait son fils à ces pugilats indignes d’une société civilisée. Ils sont d’ailleurs plus généralement bien au chaud dans des universités étrangères. Ce qui doit être exigé des prétendants, c’est un débat ou, à défaut, un exposé programmatique pour éclairer les choix ».