Nos radars qui sont retournés sur la scène de crime, ont beau manoeuvré, mais n'ont pu accéder. En cause? La police scientifique qui se charge de récolter des indices, dont les analyses croisées permettront d’élucider le double meurtre occupe les lieux du crime précisément un appartement situé sur la rue Carnot.
Comme il fallait s'y attendre, la police a installé les rubalises qui permettent de délimiter la scène de crime aux fins de protéger les indices. A la question de savoir si tout se passe exactement comme à la télévision ? "Du tout!" répond tout de go un des enquêteurs trouvé sur place.
Et, l'interlocuteur de rappeler que les séries policières américaines par exemple qui sont légion à la télévision présentent des incohérences, ne reflètent pas la réalité . Il expliquera que si quelques heures leur suffisent parfois à identifier les criminels, les enquêtes demandent généralement bien plus de temps dans la réalité. Contrairement à ces séries où seules quelques personnes sont capables de tout faire (prélèvements, analyses, poursuite des criminels...), de nombreux profils aux spécialités distinctes et complémentaires interviennent les uns après les autres pour révéler, de façon scientifique, tous les éléments qui permettront de confondre le coupable.
Ceci étant, dakarposte tient de bonnes sources que contrairement à ce qui a été dit et écrit quelque part, les deux disparus ont été retrouvés par la police inertes, dans le même salon, baignant dans une marre de sang. "Ils ont été sauvagement poignardé" nous souffle une source proche de la famille du libanais décédé.
De nos investigations, dakarposte est en mesure de révéler que le Franco-Libanais répondait au nom Is. Fawaz. Il tenait une boutique de fringues très courue ouverte à un jet de pierres de l'hôtel Pullman et est réputé par le voisinage " très affable", "de commerce facile", "constamment jovial mais surtout social"...
Quant à l'autrichien, Kilinger W., nous avons pu glaner qu'il était associé en affaires avec Fawaz.
En l'état actuel des choses, de la procédure enclenchée par la police, il nous revient que l'enquête est dans sa phase dite "prioritaire". Autrement dit, c'est le personnel de la police qui est arrivé en premier sur les lieux pour réaliser les premières constatations. Ensuite, ils procèdent avec leurs techniciens à l' identification criminelle avant de passer à la récolte des indices entre autres...
Nous n'en dirons pas plus, mais dakarposte, qui suit cette affaire à la loupe, vous promet la primeur sur l'évolution de l'enquête!
Comme il fallait s'y attendre, la police a installé les rubalises qui permettent de délimiter la scène de crime aux fins de protéger les indices. A la question de savoir si tout se passe exactement comme à la télévision ? "Du tout!" répond tout de go un des enquêteurs trouvé sur place.
Et, l'interlocuteur de rappeler que les séries policières américaines par exemple qui sont légion à la télévision présentent des incohérences, ne reflètent pas la réalité . Il expliquera que si quelques heures leur suffisent parfois à identifier les criminels, les enquêtes demandent généralement bien plus de temps dans la réalité. Contrairement à ces séries où seules quelques personnes sont capables de tout faire (prélèvements, analyses, poursuite des criminels...), de nombreux profils aux spécialités distinctes et complémentaires interviennent les uns après les autres pour révéler, de façon scientifique, tous les éléments qui permettront de confondre le coupable.
Ceci étant, dakarposte tient de bonnes sources que contrairement à ce qui a été dit et écrit quelque part, les deux disparus ont été retrouvés par la police inertes, dans le même salon, baignant dans une marre de sang. "Ils ont été sauvagement poignardé" nous souffle une source proche de la famille du libanais décédé.
De nos investigations, dakarposte est en mesure de révéler que le Franco-Libanais répondait au nom Is. Fawaz. Il tenait une boutique de fringues très courue ouverte à un jet de pierres de l'hôtel Pullman et est réputé par le voisinage " très affable", "de commerce facile", "constamment jovial mais surtout social"...
Quant à l'autrichien, Kilinger W., nous avons pu glaner qu'il était associé en affaires avec Fawaz.
En l'état actuel des choses, de la procédure enclenchée par la police, il nous revient que l'enquête est dans sa phase dite "prioritaire". Autrement dit, c'est le personnel de la police qui est arrivé en premier sur les lieux pour réaliser les premières constatations. Ensuite, ils procèdent avec leurs techniciens à l' identification criminelle avant de passer à la récolte des indices entre autres...
Nous n'en dirons pas plus, mais dakarposte, qui suit cette affaire à la loupe, vous promet la primeur sur l'évolution de l'enquête!
Voici feu Fawaz sauvagement poignardé