Que nos anciens Chefs encore vie réfléchissent sur ce cas pour ne pas nous appauvrir avec ce qu’ils coûtent déjà aux contribuables. Et voilà qu’aujourd’hui, l’Etat est en train de payer chèrement cette préférence à la France.
On ne cessera de le répéter, de le proclamer et même de le chanter. C’est un de nos patrimoines les plus précieux. Plus encore que les biens que Bay Seng est allé déposer en Normandie où il a préféré vivre et mourir, loin de son Sénégal, son pays natal et sa source d’inspiration. Et voilà qu’aujourd’hui, l’Etat est en train de payer chèrement cette préférence à la France.
Après que le président Sall a permis l’acquisition, par le Sénégal, de quarante et un de ses biens lui appartenant, lui et son épouse Colette, pour un montant de 160.064.000 francs CFA à Caen, voilà que la même France menace encore de mettre aux enchères sa riche et volumineuse bibliothèque. En attendant qu’elle menace de vendre d’autres biens de Baye Seng pour nous soutirer encore du fric.
Que nos anciens Chefs encore vie réfléchissent sur ce cas pour ne pas nous appauvrir avec ce qu’ils coûtent déjà aux contribuables. Cette parenthèse fermée, j’en viens à ce qui constitue notre premier patrimoine et qui est plus précieux encore que le président Senghor et son héritage réunis.
Un patrimoine qui constitue l’identité première de notre «Téranga ». Il s’agit de la Sénégalaise dont Baye Seng a chanté avec un grand lyrisme la beauté, la couleur, le port, la démarche et l’élégance même s’il lui a préféré sa Blanche Colette. Aujourd’hui, on est si peiné de voir cette beauté Noire vouloir ressembler à la Blanche en s’éclaircissant la peau jusqu’à contracter des cancers. Passe encore que nos femmes usent d’artifices trompeurs pour une fausse identité qui leur donne des allures de guenons en perdition. Surtout avec leurs cheveux dits naturels qui ne sont en réalité que des chevelures de Blanches, leurs faux cils, fausses hanches, « make up » et fausses fesses ! Mais voilà qu’en plus elles veulent blanchir leur peau ! Sans doute pour pouvoir rougir après. Comme les vraies toubabesses…
Une pratique, le « xeesal », dans laquelle seules des femmes quasi analphabètes s’illustraient auparavant pour plaire à des mecs ne pouvant pas résister eux-mêmes aux meufs de teint clair ! Mais qui, aujourd’hui, a fini de contaminer le milieu intellectuel ainsi que les femmes de la haute société. Malgré l’éveil des consciences, le phénomène perdure et s’est amplifié.
De plus en plus, des femmes dites intellectuelles ont tendance à s’arracher la peau, usant de produits sophistiqués qui leur coûtent la peau des fesses, se ruinant pour plaire aux hommes. Il suffit de suivre nos télés locales pour mesurer les dégâts faits sur leurs corps. C’est symptomatique que des praticiens sortent encore pour parler des ravages de ces produits esthétiques sur le corps des femmes qui meurent bêtement pour plaire à des hommes. Une beauté artificielle chèrement payée puisqu’aucune d’entre ces malheureuses ne se relève d’un cancer de la peau. Depuis décembre dernier, toutes les femmes dépigmentées atteintes de cancer de la peau et hospitalisées sont décédées, rappelle une éminente professeure de médecine, spécialité dermatologie, qui livre ainsi les chiffres de l’horreur…
Mais on espère que nos deux Premières dames ne vont pas recourir à cette vilaine, et dangereuse, pratique
KACCOOR BI – LE TEMOIN
On ne cessera de le répéter, de le proclamer et même de le chanter. C’est un de nos patrimoines les plus précieux. Plus encore que les biens que Bay Seng est allé déposer en Normandie où il a préféré vivre et mourir, loin de son Sénégal, son pays natal et sa source d’inspiration. Et voilà qu’aujourd’hui, l’Etat est en train de payer chèrement cette préférence à la France.
Après que le président Sall a permis l’acquisition, par le Sénégal, de quarante et un de ses biens lui appartenant, lui et son épouse Colette, pour un montant de 160.064.000 francs CFA à Caen, voilà que la même France menace encore de mettre aux enchères sa riche et volumineuse bibliothèque. En attendant qu’elle menace de vendre d’autres biens de Baye Seng pour nous soutirer encore du fric.
Que nos anciens Chefs encore vie réfléchissent sur ce cas pour ne pas nous appauvrir avec ce qu’ils coûtent déjà aux contribuables. Cette parenthèse fermée, j’en viens à ce qui constitue notre premier patrimoine et qui est plus précieux encore que le président Senghor et son héritage réunis.
Un patrimoine qui constitue l’identité première de notre «Téranga ». Il s’agit de la Sénégalaise dont Baye Seng a chanté avec un grand lyrisme la beauté, la couleur, le port, la démarche et l’élégance même s’il lui a préféré sa Blanche Colette. Aujourd’hui, on est si peiné de voir cette beauté Noire vouloir ressembler à la Blanche en s’éclaircissant la peau jusqu’à contracter des cancers. Passe encore que nos femmes usent d’artifices trompeurs pour une fausse identité qui leur donne des allures de guenons en perdition. Surtout avec leurs cheveux dits naturels qui ne sont en réalité que des chevelures de Blanches, leurs faux cils, fausses hanches, « make up » et fausses fesses ! Mais voilà qu’en plus elles veulent blanchir leur peau ! Sans doute pour pouvoir rougir après. Comme les vraies toubabesses…
Une pratique, le « xeesal », dans laquelle seules des femmes quasi analphabètes s’illustraient auparavant pour plaire à des mecs ne pouvant pas résister eux-mêmes aux meufs de teint clair ! Mais qui, aujourd’hui, a fini de contaminer le milieu intellectuel ainsi que les femmes de la haute société. Malgré l’éveil des consciences, le phénomène perdure et s’est amplifié.
De plus en plus, des femmes dites intellectuelles ont tendance à s’arracher la peau, usant de produits sophistiqués qui leur coûtent la peau des fesses, se ruinant pour plaire aux hommes. Il suffit de suivre nos télés locales pour mesurer les dégâts faits sur leurs corps. C’est symptomatique que des praticiens sortent encore pour parler des ravages de ces produits esthétiques sur le corps des femmes qui meurent bêtement pour plaire à des hommes. Une beauté artificielle chèrement payée puisqu’aucune d’entre ces malheureuses ne se relève d’un cancer de la peau. Depuis décembre dernier, toutes les femmes dépigmentées atteintes de cancer de la peau et hospitalisées sont décédées, rappelle une éminente professeure de médecine, spécialité dermatologie, qui livre ainsi les chiffres de l’horreur…
Mais on espère que nos deux Premières dames ne vont pas recourir à cette vilaine, et dangereuse, pratique
KACCOOR BI – LE TEMOIN