On en sait davantage sur les raisons, pour lesquelles le projet de loi de finances 2018 est plutôt orienté vers le social. Arrêté à 3 709,10 milliards de francs F Cfa contre 3 360 milliards de Fcfa pour la loi de finances initiale 2017, soit une hausse de 349,2 milliards de francs CFA en valeur absolue et 10,4% en valeur relative, ce trésor de guerre de Macky fait la part belle aux couches démunies en direction de la Présidentielle de 2019.
La preuve, après avoir “refusé” de payer, pendant des années, les chefs de villages et de quartiers, comme le faisait Wade, Macky Sall revient sur sa décision. En effet, c’est l’une des mesures-phares du Conseil des ministres de ce lundi 30 octobre 2017.
Est-elle destinée à faire les yeux doux à ces porteurs de voix et autres leaders dans les coins et recoins du Sénégal? Difficile de répondre par la négative, si l’on sait que cette requête à laquelle il n’a pas accédé, depuis des lustres, vient d’être satisfaite, à quelques 17 mois de la Présidentielle de 2019.
“Appréciant le travail précieux des auxiliaires de l’administration et le renforcement de leur rôle essentiel dans la vie nationale, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement de veiller à l’élaboration d’un statut général des administrateurs de proximité, avec tous les avantages et privilèges y afférents, ainsi qu’à la mise en place d’un conseil national à eux dédié”, relève le communiqué du conseil des ministres rendu public.
Aussi, demande-t-il au Gouvernement de Boun Dionne “d’actualiser la liste officielle des chefs de villages et délégués de quartiers, de procéder à la régularisation de la situation administrative de ceux parmi eux, qui ne disposent pas d’actes de désignation formels, de veiller également au paiement intégral des allocations mensuelles des délégués de quartiers et d’engager une réflexion pour déterminer une allocation de représentativité régulière au bénéfice des chefs de villages”.
Pour mémoire, plus de 1161 milliards de Fcfa, soit 42% du total des dépenses hors dette, sont consacrés aux secteurs sociaux, dont 40 milliards pour les bourses de sécurité familiale, 30 milliards pour l’entreprenariat rapide des jeunes et des femmes, 38 milliards pour la formation professionnelle et l’apprentissage, 27 milliards pour les subventions aux intrants agricoles, 15 milliards pour le PUDC entre autres secteurs sociaux”.
La preuve, après avoir “refusé” de payer, pendant des années, les chefs de villages et de quartiers, comme le faisait Wade, Macky Sall revient sur sa décision. En effet, c’est l’une des mesures-phares du Conseil des ministres de ce lundi 30 octobre 2017.
Est-elle destinée à faire les yeux doux à ces porteurs de voix et autres leaders dans les coins et recoins du Sénégal? Difficile de répondre par la négative, si l’on sait que cette requête à laquelle il n’a pas accédé, depuis des lustres, vient d’être satisfaite, à quelques 17 mois de la Présidentielle de 2019.
“Appréciant le travail précieux des auxiliaires de l’administration et le renforcement de leur rôle essentiel dans la vie nationale, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement de veiller à l’élaboration d’un statut général des administrateurs de proximité, avec tous les avantages et privilèges y afférents, ainsi qu’à la mise en place d’un conseil national à eux dédié”, relève le communiqué du conseil des ministres rendu public.
Aussi, demande-t-il au Gouvernement de Boun Dionne “d’actualiser la liste officielle des chefs de villages et délégués de quartiers, de procéder à la régularisation de la situation administrative de ceux parmi eux, qui ne disposent pas d’actes de désignation formels, de veiller également au paiement intégral des allocations mensuelles des délégués de quartiers et d’engager une réflexion pour déterminer une allocation de représentativité régulière au bénéfice des chefs de villages”.
Pour mémoire, plus de 1161 milliards de Fcfa, soit 42% du total des dépenses hors dette, sont consacrés aux secteurs sociaux, dont 40 milliards pour les bourses de sécurité familiale, 30 milliards pour l’entreprenariat rapide des jeunes et des femmes, 38 milliards pour la formation professionnelle et l’apprentissage, 27 milliards pour les subventions aux intrants agricoles, 15 milliards pour le PUDC entre autres secteurs sociaux”.