Au Sénégal, le débat fait rage sur l’opportunité du couvre-feu actuel, sur le vaccin et sur l’existence même de la covid-19. Dr Abdoulaye Bousso, en première ligne dans la lutte depuis le début de la pandémie, a craché ses vérités sur ces questions, hier sur "Jakaarlo Bi".
«Un couvre-feu de 21h et 5h apporte quelque chose à la riposte. Ça apporte à la baisse du nombre de contaminations. A partir de 18h les gens arrêtent ce qu’ils font, arrêtent les réunions. Même si on pense que c’est faible mais ça impacte le nombre de cas (…)
Il faut qu’on prenne des mesures. C’est quelque chose d’obligatoire pour nous. Si on ne le fait pas, qu’on n'attende pas qu’on aille vers la situation que vivent d’autres pays car ce serait insoutenable (…)
Su le vaccin, je pars d’un principe, seule le vaccin peut régler une épidémie. Je pense qu’on n’en disconvient pas. On ne peut mettre un terme à l’épidémie sans un vaccin.»
Il faut qu’on prenne des mesures. C’est quelque chose d’obligatoire pour nous. Si on ne le fait pas, qu’on n'attende pas qu’on aille vers la situation que vivent d’autres pays car ce serait insoutenable (…)
Su le vaccin, je pars d’un principe, seule le vaccin peut régler une épidémie. Je pense qu’on n’en disconvient pas. On ne peut mettre un terme à l’épidémie sans un vaccin.»