Un juge new-yorkais a ordonné vendredi à Donald Trump de payer 355 millions de dollars de pénalités, estimant que l'ancien président avait menti sur sa fortune pendant des années.
L'ancien président américain, sa société et ses cadres, y compris ses deux fils aînés, ont été jugés coupables d'avoir tenté de tromper les banques et les assureurs. Le verdict impose un remaniement à la tête de la Trump Organization, en plaçant l'entreprise sous la supervision d'un tribunal et en restreignant la façon dont elle fait des affaires.
Cette décision constitue un revers cuisant pour le candidat républicain à la présidence américaine, la dernière conséquence en date et la plus coûteuse de ses récents démêlés avec la justice. L'ampleur du verdict, qui s'ajoute aux pénalités infligées dans d'autres affaires, risque de réduire considérablement les ressources financières de Donald Trump.
Ce dernier s'est engagé à faire appel et n'aura donc pas à payer immédiatement. Il a qualifié cette décision d'"inférence électorale" et d'"armement contre un adversaire politique", se plaignant aux journalistes dans sa propriété de Mar-a-Lago, en Floride, qu'il était pénalisé pour avoir "construit une entreprise parfaite, avec de grandes liquidités, de grands bâtiments, tout ce qu'il faut".
Le juge a précisé que la Trump Organization continuerait à fonctionner, revenant sur une décision antérieure qui aurait dissous les sociétés de Donald Trump.
La décision impose également une interdiction de trois ans à Donald Trump de servir en tant que dirigeant ou administrateur de toute société new-yorkaise et interdit à ses fils d'exercer pendant deux ans, ce qui oblige effectivement la société à trouver de nouveaux dirigeants, au moins temporairement.
L'ancien président américain, sa société et ses cadres, y compris ses deux fils aînés, ont été jugés coupables d'avoir tenté de tromper les banques et les assureurs. Le verdict impose un remaniement à la tête de la Trump Organization, en plaçant l'entreprise sous la supervision d'un tribunal et en restreignant la façon dont elle fait des affaires.
Cette décision constitue un revers cuisant pour le candidat républicain à la présidence américaine, la dernière conséquence en date et la plus coûteuse de ses récents démêlés avec la justice. L'ampleur du verdict, qui s'ajoute aux pénalités infligées dans d'autres affaires, risque de réduire considérablement les ressources financières de Donald Trump.
Ce dernier s'est engagé à faire appel et n'aura donc pas à payer immédiatement. Il a qualifié cette décision d'"inférence électorale" et d'"armement contre un adversaire politique", se plaignant aux journalistes dans sa propriété de Mar-a-Lago, en Floride, qu'il était pénalisé pour avoir "construit une entreprise parfaite, avec de grandes liquidités, de grands bâtiments, tout ce qu'il faut".
Le juge a précisé que la Trump Organization continuerait à fonctionner, revenant sur une décision antérieure qui aurait dissous les sociétés de Donald Trump.
La décision impose également une interdiction de trois ans à Donald Trump de servir en tant que dirigeant ou administrateur de toute société new-yorkaise et interdit à ses fils d'exercer pendant deux ans, ce qui oblige effectivement la société à trouver de nouveaux dirigeants, au moins temporairement.