La vente de la Maison d’Arrêt et de correction de Reubeuss ferait rentrer la bagatelle de 7 milliards de FCFA qui pourraient, le cas échéant, être utiliser pour construire des prisons. L’Eta est en train de chercher un acquéreur et il faudra aussi gérer la procédure puisque cela relève du domaine nationale. L’information a été donnée par le ministre de la Justice Sidiki Kaba. Ce dernier a aussi fait la radioscopie des prisons sénégalaises, tout en saluant l’opinion publique qui commence à s’intéresser à la dignité des prisonniers.
«La première prison construite au Sénégal date de 1863, soit 153 ans et elle se trouve à Saint Louis. La deuxième est celle de Bambey et elle est centenaire. Rebeuss date de 1929. A Sébikotane, nous avons une première prison de 500 places que nous sommes en train de construire et qui sera achevée en Janvier. 70 % des travaux sont réalisés. Il y a une autre de 1500 places toujours à Sébikotane et nous attendions de vendre Rebeuss qui est évalué à 7 milliards. Il faut qu’on trouve un acquéreur», a déclaré Sidiki Kaba dans l’émission «Grand Jury» de la RFM.
A l’image de Reubeuss, Les maisons d’arrêt sont généralement des prisons où sont détenus les prévenus en attente de jugement, les condamnés à de courtes peines (inférieures à deux ans) ou les condamnés en attente d’affectation dans un établissement pour peine.
Leral.net
«La première prison construite au Sénégal date de 1863, soit 153 ans et elle se trouve à Saint Louis. La deuxième est celle de Bambey et elle est centenaire. Rebeuss date de 1929. A Sébikotane, nous avons une première prison de 500 places que nous sommes en train de construire et qui sera achevée en Janvier. 70 % des travaux sont réalisés. Il y a une autre de 1500 places toujours à Sébikotane et nous attendions de vendre Rebeuss qui est évalué à 7 milliards. Il faut qu’on trouve un acquéreur», a déclaré Sidiki Kaba dans l’émission «Grand Jury» de la RFM.
A l’image de Reubeuss, Les maisons d’arrêt sont généralement des prisons où sont détenus les prévenus en attente de jugement, les condamnés à de courtes peines (inférieures à deux ans) ou les condamnés en attente d’affectation dans un établissement pour peine.
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