« Je voulais sauver les morts« , tels furent les propos du profanateur des tombes de Pikine, finalement arrêté par les éléments du commissariat de Pikine. Il a eu à profaner, au total, 8 tombes. Cependant, au sortir de son interrogatoire, des doutes subsistent sur sa santé mentale, selon l’Obs.
Depuis un certain moment, la psychose s’était installée à Pikine. Les populations ne dormaient plus sur leurs lauriers. Le principal fautif, un certain Djibril Seydi qui, finalement, a été arrêté par la police de Pikine. Il a été pris en flagrant délit, dans la nuit du mardi au mercredi 14 décembre 2016, par les vigiles recrutés par la mairie de la localité. Et selon un riverain, le profanateur de tombes avait à moitié ouvert une tombe, avant d’être interpellé. Et c’est suite d’une longue bagarre que Djibril Seydi a été neutralisé puis gardé en lieu sûr, en attendant la venue de la police.
Âgé de 36 ans, le malfaiteur a confessé ses crimes aux enquêteurs, avant son acheminement à la chambre de sûreté. Et pour avoir une confirmation, les limiers ont reconduit le sieur Seydi au cimentier. Ce dernier désignera, avec exactitude, l’emplacement de toutes les tombes qu’il avait eu à ouvrir. Cependant des doutes demeurent sur les mobiles de ses actes. « Je voulais les sauver. Dans la tombe, il n’y a pas d’air. Ils (les morts) ne respirent pas« , lâchait-il devant les enquêteurs qui restent perplexes sur la santé mentale de Djibril Seydi.
Depuis un certain moment, la psychose s’était installée à Pikine. Les populations ne dormaient plus sur leurs lauriers. Le principal fautif, un certain Djibril Seydi qui, finalement, a été arrêté par la police de Pikine. Il a été pris en flagrant délit, dans la nuit du mardi au mercredi 14 décembre 2016, par les vigiles recrutés par la mairie de la localité. Et selon un riverain, le profanateur de tombes avait à moitié ouvert une tombe, avant d’être interpellé. Et c’est suite d’une longue bagarre que Djibril Seydi a été neutralisé puis gardé en lieu sûr, en attendant la venue de la police.
Âgé de 36 ans, le malfaiteur a confessé ses crimes aux enquêteurs, avant son acheminement à la chambre de sûreté. Et pour avoir une confirmation, les limiers ont reconduit le sieur Seydi au cimentier. Ce dernier désignera, avec exactitude, l’emplacement de toutes les tombes qu’il avait eu à ouvrir. Cependant des doutes demeurent sur les mobiles de ses actes. « Je voulais les sauver. Dans la tombe, il n’y a pas d’air. Ils (les morts) ne respirent pas« , lâchait-il devant les enquêteurs qui restent perplexes sur la santé mentale de Djibril Seydi.