Après l’épisode du 21 novembre dernier qui sest terminé en queue de poisson à Ngor Diarama, force est de consrater que le dialogue politique ne sera qu’un rêve, pour ne pas dire un voeu pieux..
Le président Macky Sall tient à lustrer « sa démocratie ». Et le dialogue politique est une occasion en or pour ce faire. Seulement il lui faut lever quelques obstacles de taille en face de lui dont le premier, et peut être le plus lourd est posé par le PDS de maître Abdoulaye Wade. En effet, le retour de Karim Wade au pays pour poursuivre ses activités politiques est la condition que pose la première force de l’oppsition sénégalaise pour participer au dialogue. Mais à ce niveau, Macky Sall ne semble pas disposé à lâcher du lest. D’où, les sorties au vitriole du pape du Sopi, pour monter les enchères.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});A côté du président de la République Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng qui profitent bien du temps de Macky, comme ils l’ont fait avec le temps de Senghor, de Diouf et quelque peu avec le temps de Wade sont conscients que, des retrouvailles entre le PDS et l’APR sont synonymes de leur retraite politique. Aussi, par instinct de conservation ils laisseront jamais les mains libres au président Macky Sall.
A juste raison d’ailleurs. Les vieux alliés de l’APR savent que ces retrouvailles auront aussi pour conséquence la structuration du pôle de Khalifa Sall comme alternative dans l’opposition. Et aussi, une alliance avec Idrissa Seck qui pourrait être le candidat des « khalifiste » si le maire de Dakar reste en prison jusqu’à la présidentielle de 2019.
La rédaction
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