Deux hommes, âgés de 23 et 29 ans, ont été arrêtés mardi 18 avril à Marseille. Les individus "radicalisés" avaient l'intention de commettre un attentat "dans les tout prochains jours", a déclaré le ministre de l'Intérieur Mathias Fekl.
Ils ont été arrêtés par la DGSI dans le cadre d'une enquête en flagrance ouverte à Paris le 12 avril, pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et infraction à la législation sur les armes en relation avec une entreprise terroriste.
"Connus pour leur radicalisation", les deux suspects ont déjà été incarcérés pour des faits sans caractère terroriste, a ajouté une source proche de l'enquête. Des "armes de poing" et "des armes longues", ainsi que du matériel rentrant dans la composition d'explosifs ont été retrouvés lors de perquisitions menées mardi.
Le président de la République François Hollande a salué "une prise remarquable" ainsi que le travail "mené par les services et la police".
"Tout est mis en œuvre" pour l'élection
"À quelques jours d'une échéance électorale majeure pour notre pays, je veux rappeler que tout est mis en œuvre pour assurer la sécurité de ce rendez-vous majeur pour notre démocratie", a assuré Matthias Fekl.
Selon Marine Le Pen et l'entourage d' Emannuel Macron,les photos des deux hommes avaient été distribuées dès le 13 avril aux services de sécurité des candidats à l'élection présidentielle. L'entourage de François Fillon avait par ailleurs été prévenu de "risques avérés" sur le candidat, a-t-on aussi appris auprès de sources concordantes Les Républicains.
"Les services du ministère de l'Intérieur sont totalement, et plus que jamais, mobilisés partout en France pour assurer la sécurité des Français, pour assurer le bon déroulé de la campagne présidentielle, pour assurer la sécurité des meetings et des rassemblements, pour assurer la sécurité des candidats et de leurs quartiers généraux de campagne", a déclaré le ministre de l'Intérieur.
"Plus de 50 000 policiers, gendarmes et militaires" seront déployés pour assure la sécurité de l'élection, notamment dans les 67 000 lieux de vote, a-t-il rappelé.
Ils ont été arrêtés par la DGSI dans le cadre d'une enquête en flagrance ouverte à Paris le 12 avril, pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et infraction à la législation sur les armes en relation avec une entreprise terroriste.
"Connus pour leur radicalisation", les deux suspects ont déjà été incarcérés pour des faits sans caractère terroriste, a ajouté une source proche de l'enquête. Des "armes de poing" et "des armes longues", ainsi que du matériel rentrant dans la composition d'explosifs ont été retrouvés lors de perquisitions menées mardi.
Le président de la République François Hollande a salué "une prise remarquable" ainsi que le travail "mené par les services et la police".
"Tout est mis en œuvre" pour l'élection
"À quelques jours d'une échéance électorale majeure pour notre pays, je veux rappeler que tout est mis en œuvre pour assurer la sécurité de ce rendez-vous majeur pour notre démocratie", a assuré Matthias Fekl.
Selon Marine Le Pen et l'entourage d' Emannuel Macron,les photos des deux hommes avaient été distribuées dès le 13 avril aux services de sécurité des candidats à l'élection présidentielle. L'entourage de François Fillon avait par ailleurs été prévenu de "risques avérés" sur le candidat, a-t-on aussi appris auprès de sources concordantes Les Républicains.
"Les services du ministère de l'Intérieur sont totalement, et plus que jamais, mobilisés partout en France pour assurer la sécurité des Français, pour assurer le bon déroulé de la campagne présidentielle, pour assurer la sécurité des meetings et des rassemblements, pour assurer la sécurité des candidats et de leurs quartiers généraux de campagne", a déclaré le ministre de l'Intérieur.
"Plus de 50 000 policiers, gendarmes et militaires" seront déployés pour assure la sécurité de l'élection, notamment dans les 67 000 lieux de vote, a-t-il rappelé.